Préface inédite de Benoît Heilbrunn
Cet ouvrage reprend les gravures du XVIe siècle
Le Songe de Poliphile, publié en 1546, est l’adaptation par Jean Martin de l’Hypnerotomachia Poliphili attribuée à Francesco Colonna et parue à Venise en 1499. Beaucoup de bibliophiles le considèrent comme le plus bel ouvrage de tous les temps du fait de sa mise en page audacieuse, de ses magnifiques bois gravés et de son ingénieuse typographie.
L’oeuvre met en scène la quête de Poliphile qui cherche sa bien-aimée Polia dans un paysage de ruines, de palais et de temples antiques. Ce texte a inspiré de nombreux auteurs, de Ronsard à Nerval en passant par Lafontaine. Si le parcours allégorique qu’il donne à voir et à lire reste mystérieux à bien des égards, il est riche d’enseignements sur l’amour, l’architecture, l’esthétique mais aussi la façon dont la Renaissance va penser l’idée de créativité.
L’adaptation française est ici présentée dans la translittération qu’en a proposée Gilles Pollizzi en 1994. Voici l’un des chefs-d’oeuvres typographiques de l’histoire du livre.
« Le plus beau livre de tous les temps. »Umberto Eco
Préface inédite de Benoît Heilbrunn
Cet ouvrage reprend les gravures du XVIe siècle
Le Songe de Poliphile, publié en 1546, est l’adaptation par Jean Martin de l’Hypnerotomachia Poliphili attribuée à Francesco Colonna et parue à Venise en 1499. Beaucoup de bibliophiles le considèrent comme le plus bel ouvrage de tous les temps du fait de sa mise en page audacieuse, de ses magnifiques bois gravés et de son ingénieuse typographie.
L’oeuvre met en scène la quête de Poliphile qui cherche sa bien-aimée Polia dans un paysage de ruines, de palais et de temples antiques. Ce texte a inspiré de nombreux auteurs, de Ronsard à Nerval en passant par Lafontaine. Si le parcours allégorique qu’il donne à voir et à lire reste mystérieux à bien des égards, il est riche d’enseignements sur l’amour, l’architecture, l’esthétique mais aussi la façon dont la Renaissance va penser l’idée de créativité.
L’adaptation française est ici présentée dans la translittération qu’en a proposée Gilles Pollizzi en 1994. Voici l’un des chefs-d’oeuvres typographiques de l’histoire du livre.
« Le plus beau livre de tous les temps. »Umberto Eco