Suite de quoi ? c´est une des premières questions que pose un homéopathe à son patient pour trouver le bon remède. Alors même si ce livre ne traite pas directement d´homéopathie, il peut nous ouvrir les yeux sur une autre approche de la maladie.
« Faut-il dynamiser la médecine pour un peu plus d´affectif ? Faut-il modifier les paradigmes, faire un saut quantique et bouleverser l´épistémologie (ou spécialistologie) ?
Vingt-cinq ans après sa création, la SCIENCE AFFECTIVE est devenue une discipline universitaire. Le crime n´était donc pas punissable et la charge explosive est désamorcée. Un médecin généraliste ne s´attache qu´à la pure et simple expérience clinique et à la transmission de la nouveauté (code de déontologie). L´innovation est due à la précision du diagnostic qui crée un bouleversement dans les étiologies. Le changement, l´évolution et la transformation succèdent à la verbalisation du conflit, ce qui peut éviter brillamment la somatisation et même, si elle existe, la faire régresser, la désincarner. »
Médecin généraliste en Provence depuis 45 ans, chef de clinique au CHU de Montpellier, Bernard Vial est à l´origine du concept de la Médecine Affective. Auteur de nombreux ouvrages sur le sujet.
Suite de quoi ? c´est une des premières questions que pose un homéopathe à son patient pour trouver le bon remède. Alors même si ce livre ne traite pas directement d´homéopathie, il peut nous ouvrir les yeux sur une autre approche de la maladie.
« Faut-il dynamiser la médecine pour un peu plus d´affectif ? Faut-il modifier les paradigmes, faire un saut quantique et bouleverser l´épistémologie (ou spécialistologie) ?
Vingt-cinq ans après sa création, la SCIENCE AFFECTIVE est devenue une discipline universitaire. Le crime n´était donc pas punissable et la charge explosive est désamorcée. Un médecin généraliste ne s´attache qu´à la pure et simple expérience clinique et à la transmission de la nouveauté (code de déontologie). L´innovation est due à la précision du diagnostic qui crée un bouleversement dans les étiologies. Le changement, l´évolution et la transformation succèdent à la verbalisation du conflit, ce qui peut éviter brillamment la somatisation et même, si elle existe, la faire régresser, la désincarner. »
Médecin généraliste en Provence depuis 45 ans, chef de clinique au CHU de Montpellier, Bernard Vial est à l´origine du concept de la Médecine Affective. Auteur de nombreux ouvrages sur le sujet.