Dans ce nouveau livre, décryptant l’ésotérisme des “Arts libéraux”, il réhabilite leur haute portée initiatique.
Rappelant que pour la Tradition, exercer un métier ou pratiquer un art, c’est prolonger l’oeuvre cosmique, modèle et synthèse de tous les arts. Gouverné par les règles universelles d’ordre et d’harmonie, l’Art ne peut donc être le fruit de la fantaisie de « l’artiste » qui laisserait divaguer son imagination.
Au moins depuis l’Antiquité, et jusqu’au seuil de la Renaissance, une union profonde existait entre toutes les connaissances humaines, unies dans la Tradition qui constituait le liant universel. Tout s’intégrait à l’équilibre cosmique auquel l’homme, par son activité, participait
directement, s’approchant ainsi de la Perfection. C’est à cela que servent aujourd’hui encore les “Arts libéraux” que la plupart des ordres initiatiques évoquent expressément dans leurs textes fondateurs...