« Être vrai, oser l’abandon plutôt que la lutte, voilà qui me guide dans l’existence, où jamais nous ne pouvons nous installer. Pour demeurer fidèle à soi, pour vivre une authentique simplicité du cœur, tout un art est requis. Comment s’abandonner à la vie sans baisser les bras ? Comment goûter la joie sans nier le tragique de l’existence ? Comment traverser le découragement sans devenir amer ?
Ce Petit traité de l’abandon tente de dégager un chemin vers la liberté intérieure. J’ai puisé dans la tradition philosophique et celle du zen une invitation à une vie plus simple, car le bonheur ne procède pas de l’accumulation mais du dépouillement. C’est la joie qui mène au détachement et non la privation. D’où cet itinéraire vers l’abandon, né de mes joies et de mes blessures. »
A. J.
« Être vrai, oser l’abandon plutôt que la lutte, voilà qui me guide dans l’existence, où jamais nous ne pouvons nous installer. Pour demeurer fidèle à soi, pour vivre une authentique simplicité du cœur, tout un art est requis. Comment s’abandonner à la vie sans baisser les bras ? Comment goûter la joie sans nier le tragique de l’existence ? Comment traverser le découragement sans devenir amer ?
Ce Petit traité de l’abandon tente de dégager un chemin vers la liberté intérieure. J’ai puisé dans la tradition philosophique et celle du zen une invitation à une vie plus simple, car le bonheur ne procède pas de l’accumulation mais du dépouillement. C’est la joie qui mène au détachement et non la privation. D’où cet itinéraire vers l’abandon, né de mes joies et de mes blessures. »
A. J.