
		La petite église de Rennes-le-Château (Aude) a attiré l’attention du  monde entier. Restaurée dans les dernières années du XIXe siècle par  l’abbé Saunière, c’est par l’entremise de celui-ci qu’elle acquit, au  XXe siècle, une dimension quasi mythique. A l’origine de ce phénomène,  la rumeur, grandissante à partir des années 1960, selon laquelle l’abbé  Saunière avait trouvé un mirifique trésor lors de travaux dans son  église. Grâce à cette manne, il aurait érigé le somptueux domaine encore  visible à Rennes-le-Château et mené grand train jusqu’à la fin de ses  jours en janvier 1917. Pour d’aucun, il; était loin d’avoir tout  dépensé. A partir de là, on postula qu’il avait laissé – dans son église  – de précieux indices permettant d’accéder à cette fortune encore  enfouie dans les entrailles de la « colline inspirée », si ce n’est à  proximité. On s’échina dès lors à retrouver une à une les pièces de cet  extraordinaire jeu de piste disséminé dans la petite église paroissiale…
 Si on a écrit beaucoup sur celle-ci, aucun guide complet consacré à  l’édifice n’avait jusqu’alors vu le jour. C’est le propos de cet ouvrage  que de réparer ce manque, en offrant au touriste de passage comme au  chercheur confirmé une intéressante collection de photographies de  qualité. Au premier, ce guide permettra de conserver intact le souvenir  de sa visite. A celui qui voudra voir plus loin, elle présentera un  indispensable outil de travail. Outre un inventaire exhaustif de la  décoration de l’église (chemin de croix, statues, fresques murales,  vitraux, mobilier…), l’ouvrage présente des éléments inaccessibles au  visiteur. On y découvrira le visage intégral de la Marie Madeleine de  l’autel, visible seulement de profil depuis la nef ; le vitrail de la  sacristie, fermée au public ; ou encore les étranges caractères couvrant  le livre posé aux pieds de Marie-Madeleine, du haut de ses deux mètres  invisible du passant…
Les deux auteurs de ce guide sont reconnus pour leurs différents travaux sur l’affaire de Rennes. Dans ce guide, Christian Doumergue explique le sens religieux de la décoration de l’église. Daniel Dugès invite à une lecture plus étonnante et complémentaire en mettant en évidence l’existence d’une symbolique maçonnique dans l’ornementation choisie par l’abbé Saunière, ou ses « éminences grises… »

La petite église de Rennes-le-Château (Aude) a attiré l’attention du  monde entier. Restaurée dans les dernières années du XIXe siècle par  l’abbé Saunière, c’est par l’entremise de celui-ci qu’elle acquit, au  XXe siècle, une dimension quasi mythique. A l’origine de ce phénomène,  la rumeur, grandissante à partir des années 1960, selon laquelle l’abbé  Saunière avait trouvé un mirifique trésor lors de travaux dans son  église. Grâce à cette manne, il aurait érigé le somptueux domaine encore  visible à Rennes-le-Château et mené grand train jusqu’à la fin de ses  jours en janvier 1917. Pour d’aucun, il; était loin d’avoir tout  dépensé. A partir de là, on postula qu’il avait laissé – dans son église  – de précieux indices permettant d’accéder à cette fortune encore  enfouie dans les entrailles de la « colline inspirée », si ce n’est à  proximité. On s’échina dès lors à retrouver une à une les pièces de cet  extraordinaire jeu de piste disséminé dans la petite église paroissiale…
 Si on a écrit beaucoup sur celle-ci, aucun guide complet consacré à  l’édifice n’avait jusqu’alors vu le jour. C’est le propos de cet ouvrage  que de réparer ce manque, en offrant au touriste de passage comme au  chercheur confirmé une intéressante collection de photographies de  qualité. Au premier, ce guide permettra de conserver intact le souvenir  de sa visite. A celui qui voudra voir plus loin, elle présentera un  indispensable outil de travail. Outre un inventaire exhaustif de la  décoration de l’église (chemin de croix, statues, fresques murales,  vitraux, mobilier…), l’ouvrage présente des éléments inaccessibles au  visiteur. On y découvrira le visage intégral de la Marie Madeleine de  l’autel, visible seulement de profil depuis la nef ; le vitrail de la  sacristie, fermée au public ; ou encore les étranges caractères couvrant  le livre posé aux pieds de Marie-Madeleine, du haut de ses deux mètres  invisible du passant…
Les deux auteurs de ce guide sont reconnus pour leurs différents travaux sur l’affaire de Rennes. Dans ce guide, Christian Doumergue explique le sens religieux de la décoration de l’église. Daniel Dugès invite à une lecture plus étonnante et complémentaire en mettant en évidence l’existence d’une symbolique maçonnique dans l’ornementation choisie par l’abbé Saunière, ou ses « éminences grises… »
