Les héros celtes (Cuchulainn, Conchobar, Bran, Merlin...) : appartiennent-ils à un monde à part, définitivement égarés dans les oubliettes de l´Histoire? Ou à une réalité vivante par sa valeur exemplaire ? De dieux qu´ils étaient au temps de Vercingétorix, statufiés et assis impavides sur leur socle de pierre, ils sont devenus des hommes dans l´irlande médiévale.
On a oublié les têtes coupées, clouées aux portes d´enceintes, au profit de rois, comme le Dagda, qui s´empiffrent et boivent jusqu´à plus soif pour gagner un pari et tenter de l´emporter sur leurs ennemis jurés. Les dames ne démérites pas quand elles battent à la course les chevaux du roi. Quant aux géants, ils volent la vedette aux bardes, druides et magiciens toujours prêts à embrouiller les dignitaires de la Cour ou à raconter des histoires destinées à endormir les assemblées, avant de leur jeter des interdits terribles. Tout cela dégénère en de belles bagarres où force herculéenne et sorcellerie s´affrontent sans merci.
Le Moyen Âge parviendra-t-il à policer cette société indisciplinée et batailleuse pour imposer de belles histoires d´amour ? Il y a toujours un fond atavique de nostalgie et nos héros rêvent encore de gentes damoiselles et de séjours merveilleux dns des îles lointaines où les emportement dess bateaux féériques.
Les héros celtes (Cuchulainn, Conchobar, Bran, Merlin...) : appartiennent-ils à un monde à part, définitivement égarés dans les oubliettes de l´Histoire? Ou à une réalité vivante par sa valeur exemplaire ? De dieux qu´ils étaient au temps de Vercingétorix, statufiés et assis impavides sur leur socle de pierre, ils sont devenus des hommes dans l´irlande médiévale.
On a oublié les têtes coupées, clouées aux portes d´enceintes, au profit de rois, comme le Dagda, qui s´empiffrent et boivent jusqu´à plus soif pour gagner un pari et tenter de l´emporter sur leurs ennemis jurés. Les dames ne démérites pas quand elles battent à la course les chevaux du roi. Quant aux géants, ils volent la vedette aux bardes, druides et magiciens toujours prêts à embrouiller les dignitaires de la Cour ou à raconter des histoires destinées à endormir les assemblées, avant de leur jeter des interdits terribles. Tout cela dégénère en de belles bagarres où force herculéenne et sorcellerie s´affrontent sans merci.
Le Moyen Âge parviendra-t-il à policer cette société indisciplinée et batailleuse pour imposer de belles histoires d´amour ? Il y a toujours un fond atavique de nostalgie et nos héros rêvent encore de gentes damoiselles et de séjours merveilleux dns des îles lointaines où les emportement dess bateaux féériques.