
		Un jour de 1930 à Paris, le poète et philosophe René Daumal rencontre un  " ancien derviche, ancien bénédictin, ancien professeur de jiu-jitsu,  guérisseur... ", un homme " formidable " : Alexandre de Salzmann.  Peintre, inventeur d´une méthode révolutionnaire d´éclairage, Alexandre  de Salzmann noue avec le jeune poète une amitié profonde. Elève de  Gurdjieff, Alexandre de Salzmann introduit Daumal à l´enseignement du  maître caucasien. 
Alors qu´Alexandre, atteint de tuberculose,  rejoint un sanatorium en Savoie, il échange avec Daumal un ensemble de  lettres, lui réclame un dictionnaire français-persan, traduit les  quatrains d´Omar Khayam. Quand il s´éteint en 1934, René Daumal et Vera,  sa compagne, se tournent vers Jeanne de Salzmann, pour poursuivre le  travail amorcé avec Alexandre. Puis Daumal lui-même découvrira qu´il est  touché par la tuberculose... 
Basarab Nicolescu, en collaboration  avec Ana Maria Wangeman, Claude Auger, Patrick Décant et Jean Pian,  présente dans cet ouvrage des archives inédites, conservées notamment à  la Bibliothèque Littéraire Jacques Doucet. Ont été rassemblés ici entre  autres les lettres d´Alexandre de Salzmann à René Daumal, de mars 1933 à  avril 1934, des documents rares sur son travail sur le théâtre ou  l´alphabet qu´il avait créé, mais aussi le carnet dans lequel René  Daumal notait ses réflexions sur l´enseignement, les lettres échangées  avec Jeanne de Salzmann relatives au " travail " pratiqué dans les  groupes Gurdjieff... 
ainsi que des études approfondies. Le poète et  philosophe Michel Camus, fin connaisseur de l´oeuvre de Daumal écrivait :  " On ne peut enfermer Daumal dans l´Enseignement de Gurdjieff. On ne  peut non plus l´amputer d´un travail de transformation de soi qui a  façonné la seconde moitié de sa vie. [...] Il a tout traversé.

Un jour de 1930 à Paris, le poète et philosophe René Daumal rencontre un  " ancien derviche, ancien bénédictin, ancien professeur de jiu-jitsu,  guérisseur... ", un homme " formidable " : Alexandre de Salzmann.  Peintre, inventeur d´une méthode révolutionnaire d´éclairage, Alexandre  de Salzmann noue avec le jeune poète une amitié profonde. Elève de  Gurdjieff, Alexandre de Salzmann introduit Daumal à l´enseignement du  maître caucasien. 
Alors qu´Alexandre, atteint de tuberculose,  rejoint un sanatorium en Savoie, il échange avec Daumal un ensemble de  lettres, lui réclame un dictionnaire français-persan, traduit les  quatrains d´Omar Khayam. Quand il s´éteint en 1934, René Daumal et Vera,  sa compagne, se tournent vers Jeanne de Salzmann, pour poursuivre le  travail amorcé avec Alexandre. Puis Daumal lui-même découvrira qu´il est  touché par la tuberculose... 
Basarab Nicolescu, en collaboration  avec Ana Maria Wangeman, Claude Auger, Patrick Décant et Jean Pian,  présente dans cet ouvrage des archives inédites, conservées notamment à  la Bibliothèque Littéraire Jacques Doucet. Ont été rassemblés ici entre  autres les lettres d´Alexandre de Salzmann à René Daumal, de mars 1933 à  avril 1934, des documents rares sur son travail sur le théâtre ou  l´alphabet qu´il avait créé, mais aussi le carnet dans lequel René  Daumal notait ses réflexions sur l´enseignement, les lettres échangées  avec Jeanne de Salzmann relatives au " travail " pratiqué dans les  groupes Gurdjieff... 
ainsi que des études approfondies. Le poète et  philosophe Michel Camus, fin connaisseur de l´oeuvre de Daumal écrivait :  " On ne peut enfermer Daumal dans l´Enseignement de Gurdjieff. On ne  peut non plus l´amputer d´un travail de transformation de soi qui a  façonné la seconde moitié de sa vie. [...] Il a tout traversé.
