
		« Longtemps, nous avons distingué la paix de la guerre. C’était même,  souvent, la seule définition que nous donnions de la paix : l’absence de  guerre.
Depuis une trentaine d’années, nous sommes passés dans un  autre type de guerre, une guerre grise, presque anonyme, et même  innommable, une guerre qui chasse les habitants de tout un pays vers  d’autres terres, lesquelles, prises au dépourvu, ne savent ni les  accueillir ni les repousser.
Une guerre qui a métamorphosé la paix, au point d’en empêcher toute définition.
De  là ce livre sur la paix qui va d’Eschyle à Victor Hugo, du 11 Septembre  à la Promenade des Anglais, de la paix des étoiles au repos de la  tombe, autour de cette notion profondément mystérieuse, cette paix qui  nous fait tant de mal et que nous appelons notre souverain bien. » J.-C.  C.
Un éloge de la paix, un hymne à notre commune humanité.

« Longtemps, nous avons distingué la paix de la guerre. C’était même,  souvent, la seule définition que nous donnions de la paix : l’absence de  guerre.
Depuis une trentaine d’années, nous sommes passés dans un  autre type de guerre, une guerre grise, presque anonyme, et même  innommable, une guerre qui chasse les habitants de tout un pays vers  d’autres terres, lesquelles, prises au dépourvu, ne savent ni les  accueillir ni les repousser.
Une guerre qui a métamorphosé la paix, au point d’en empêcher toute définition.
De  là ce livre sur la paix qui va d’Eschyle à Victor Hugo, du 11 Septembre  à la Promenade des Anglais, de la paix des étoiles au repos de la  tombe, autour de cette notion profondément mystérieuse, cette paix qui  nous fait tant de mal et que nous appelons notre souverain bien. » J.-C.  C.
Un éloge de la paix, un hymne à notre commune humanité.
