Toutes les époques ont leur idéologie.
Ence début du XXIe siècle, le seul débris qui surnage après un siècle chaotique et tragique, c´est le mondialisme. Dans l´esprit de ses promoteurs, bien au-delà d´une coopération mondiale nécessaire et légitime, il s´agit d´abattre toutes les cloisons, et d´abord nationales, afin d´aboutir d´emblée à ce fameux village global décrit par le sociologue canadien Herbert Marshall Mcluhan. Comme le dit Guy Sorman : Le monde est ma tribu.
Le but est de créer de grands blocs géoéconomiques standardisés européens, nord-américains, sud-américains, asiatiques, etc., au sein desquels les nations seront broyées et dont la réunion constituera l´armature d´une gouvernante mondiale. Comme le rappelle Jacques Attali dans son ouvrage Dictionnaire du XXe siècle : Après la mise en place d´institutions continentales européennes, apparaîtra peut-être l´urgente nécessité d´un gouvernement mondial.
Ainsi, ces blocs corsetés par la même idéologie et dont les populations auront été au préalable alignées dans leur structure mentale sur les critères édictés au sommet, accoucheront d´une humanité unie, interchangeable et nomade. Cependant, l´aboutissement de ces ambitions longtemps prophétisées devra passer par des étapes bouleversant les structures politico-économiques des sociétés, qui ne seront pas sans conséquences militaires.
Dans ces événements, la vie humaine comptera peu. D´ores et déjà, avec la mort probable de la Belgique, les réveils régionalistes en Espagne et en Italie, l´Europe de Bruxelles qui a programmé depuis longtemps la mise sous tutelle, sinon la destruction des nations, risque d´être exaucée dans ses entreprises au-delà de ses espérances. De leur côté, à travers le sanglant bourbier irakien, les Etats-Unis préparent activement la recomposition du Moyen-Orient...
La tour de Babel tiendra-t-elle ?
Toutes les époques ont leur idéologie.
Ence début du XXIe siècle, le seul débris qui surnage après un siècle chaotique et tragique, c´est le mondialisme. Dans l´esprit de ses promoteurs, bien au-delà d´une coopération mondiale nécessaire et légitime, il s´agit d´abattre toutes les cloisons, et d´abord nationales, afin d´aboutir d´emblée à ce fameux village global décrit par le sociologue canadien Herbert Marshall Mcluhan. Comme le dit Guy Sorman : Le monde est ma tribu.
Le but est de créer de grands blocs géoéconomiques standardisés européens, nord-américains, sud-américains, asiatiques, etc., au sein desquels les nations seront broyées et dont la réunion constituera l´armature d´une gouvernante mondiale. Comme le rappelle Jacques Attali dans son ouvrage Dictionnaire du XXe siècle : Après la mise en place d´institutions continentales européennes, apparaîtra peut-être l´urgente nécessité d´un gouvernement mondial.
Ainsi, ces blocs corsetés par la même idéologie et dont les populations auront été au préalable alignées dans leur structure mentale sur les critères édictés au sommet, accoucheront d´une humanité unie, interchangeable et nomade. Cependant, l´aboutissement de ces ambitions longtemps prophétisées devra passer par des étapes bouleversant les structures politico-économiques des sociétés, qui ne seront pas sans conséquences militaires.
Dans ces événements, la vie humaine comptera peu. D´ores et déjà, avec la mort probable de la Belgique, les réveils régionalistes en Espagne et en Italie, l´Europe de Bruxelles qui a programmé depuis longtemps la mise sous tutelle, sinon la destruction des nations, risque d´être exaucée dans ses entreprises au-delà de ses espérances. De leur côté, à travers le sanglant bourbier irakien, les Etats-Unis préparent activement la recomposition du Moyen-Orient...
La tour de Babel tiendra-t-elle ?