Vous avez peut-être déjà entendu l´adage populaire affirmant que les membres d´une même famille ont leur propre manière de mourir : "Les Leblanc meurent du cœur ; les Gérard, du cancer; les Drouin, d´accidents ; les Lacasse, de suicides, etc." Ce dicton ne laisserait-il pas sous-entendre que la mort physique serait quelque chose de contagieux? La fréquence d´un type de mort serait-elle épidémique au sein d´un clan familial ? Jean Monbourquette ne croit pas que la mort soit contagieuse, mais il soutient toutefois qu´une forme de transmission psychologique et inconsciente est possible pour les gens qui entretiennent une relation symbiotique avec le défunt.
Son ouvrage entend donc rendre compte, chez certains endeuillés, de l´existence de l´envie de mourir ou de la présence des mêmes symptômes qui ont mené à la mort de l´être cher. Il s´attarde aussi à décrire le déroulement d´une thérapie par mort symbolique " et en souligne les résultats obtenus en vue de la résolution du deuil.
Vous avez peut-être déjà entendu l´adage populaire affirmant que les membres d´une même famille ont leur propre manière de mourir : "Les Leblanc meurent du cœur ; les Gérard, du cancer; les Drouin, d´accidents ; les Lacasse, de suicides, etc." Ce dicton ne laisserait-il pas sous-entendre que la mort physique serait quelque chose de contagieux? La fréquence d´un type de mort serait-elle épidémique au sein d´un clan familial ? Jean Monbourquette ne croit pas que la mort soit contagieuse, mais il soutient toutefois qu´une forme de transmission psychologique et inconsciente est possible pour les gens qui entretiennent une relation symbiotique avec le défunt.
Son ouvrage entend donc rendre compte, chez certains endeuillés, de l´existence de l´envie de mourir ou de la présence des mêmes symptômes qui ont mené à la mort de l´être cher. Il s´attarde aussi à décrire le déroulement d´une thérapie par mort symbolique " et en souligne les résultats obtenus en vue de la résolution du deuil.