L’espace est un emboitement de structures et de significations qui vont de l’immédiat au médiat, du concret à l’abstrait, du simple au complexe. Comment saisir ces dimensions de spatialités, comment accompagner leur déploiement et leur reconnaissance ? À partir des philosophies modernes et contemporaines, phénoménologie et herméneutique, entre autres, on peut établir que non seulement le langage poétique de l’espace peut compléter le langage scienti que, mais qu’il peut même se révéler comme la relation première et indépassable de l’être-au- monde et le fondement d’une géopoïétique. La subjectivité est notre lieu naturel pour aborder l’espace, qui n’est pas seulement une catégorie extensive du dehors mais une catégorie intensive du dedans.
L’espace est un emboitement de structures et de significations qui vont de l’immédiat au médiat, du concret à l’abstrait, du simple au complexe. Comment saisir ces dimensions de spatialités, comment accompagner leur déploiement et leur reconnaissance ? À partir des philosophies modernes et contemporaines, phénoménologie et herméneutique, entre autres, on peut établir que non seulement le langage poétique de l’espace peut compléter le langage scienti que, mais qu’il peut même se révéler comme la relation première et indépassable de l’être-au- monde et le fondement d’une géopoïétique. La subjectivité est notre lieu naturel pour aborder l’espace, qui n’est pas seulement une catégorie extensive du dehors mais une catégorie intensive du dedans.