L’Ordre des chevaliers maçons élus coëns de l’Univers transmettait des  initiations et des ordinations spécifiques, de forme maçonnique, quoique  très différentes des grades maçonniques classiques.
Ces initiations  et ces ordinations habilitaient à la pratique d’opérations théurgiques,  en quoi consistait le culte primitif, propre au sacerdoce adamique  restauré par Martines de Pasqually (XVIIIème siècle). Cette école de  théurgie fut celle de Louis-Claude de Saint-Martin, de Jean-Baptiste  Willermoz et de quelques autres « émules », qui y recevront aussi de  Martines, leur maître commun, la doctrine, apparentée au  judéochristianisme, qu’ils transmettront à leur tour, l’un dans son  oeuvre littéraire, l’autre dans le Régime écossais rectifié.
Dans le  sillage de Robert Amadou, Serge Caillet analyse minutieusement ici, pour  la première fois, grade par grade, les rites de réception et  d’ordination des élus coëns, à partir des documents originaux qui nous  sont parvenus. il ouvre ainsi un à un les sept « sceaux » que  représentent les sept classes de l’Ordre, en décrivant dans le détail le  cheminement initiatique des élus coëns.

L’Ordre des chevaliers maçons élus coëns de l’Univers transmettait des  initiations et des ordinations spécifiques, de forme maçonnique, quoique  très différentes des grades maçonniques classiques.
Ces initiations  et ces ordinations habilitaient à la pratique d’opérations théurgiques,  en quoi consistait le culte primitif, propre au sacerdoce adamique  restauré par Martines de Pasqually (XVIIIème siècle). Cette école de  théurgie fut celle de Louis-Claude de Saint-Martin, de Jean-Baptiste  Willermoz et de quelques autres « émules », qui y recevront aussi de  Martines, leur maître commun, la doctrine, apparentée au  judéochristianisme, qu’ils transmettront à leur tour, l’un dans son  oeuvre littéraire, l’autre dans le Régime écossais rectifié.
Dans le  sillage de Robert Amadou, Serge Caillet analyse minutieusement ici, pour  la première fois, grade par grade, les rites de réception et  d’ordination des élus coëns, à partir des documents originaux qui nous  sont parvenus. il ouvre ainsi un à un les sept « sceaux » que  représentent les sept classes de l’Ordre, en décrivant dans le détail le  cheminement initiatique des élus coëns.
