Henry Corbin a rencontré Jung à de multiples reprises, avant de prendre sa succession, lors des rencontres d’Ascona, en Suisse italienne, où se sont réunis les plus grands spécialistes mondiaux de l’expérience religieuse pendant des années.
D’où le texte, totalement inédit, sur les rapports de Jung à la « pensée » bouddhique, telle qu’elle était du moins présentée par quelqu’un comme Suzuki à l’époque et que l’on trouve dans ce livre.
A quoi la veuve de Corbin, avant sa disparition, en remettant ces documents à Michel Cazenave, avait voulu qu’on y ajoute un certain nombre d’annexes qui n’avaient pas été publiées jusqu’alors, et, particulièrement, ce qu’avait écrit Corbin, après la parution de la « Réponse à Job » de Jung, sur la figure de la Sophia, la « divine Sagesse », chez ce dernier.
Henry Corbin a rencontré Jung à de multiples reprises, avant de prendre sa succession, lors des rencontres d’Ascona, en Suisse italienne, où se sont réunis les plus grands spécialistes mondiaux de l’expérience religieuse pendant des années.
D’où le texte, totalement inédit, sur les rapports de Jung à la « pensée » bouddhique, telle qu’elle était du moins présentée par quelqu’un comme Suzuki à l’époque et que l’on trouve dans ce livre.
A quoi la veuve de Corbin, avant sa disparition, en remettant ces documents à Michel Cazenave, avait voulu qu’on y ajoute un certain nombre d’annexes qui n’avaient pas été publiées jusqu’alors, et, particulièrement, ce qu’avait écrit Corbin, après la parution de la « Réponse à Job » de Jung, sur la figure de la Sophia, la « divine Sagesse », chez ce dernier.