Quel est le point commun entre l’eau du robinet, le fromage, les biscuits, les crèmes nourrissantes, le fond de teint, le rouge à lèvres, les déodorants, le lait en poudre, les vaccins, les œufs ? Tous ces produits contiennent de l’aluminium. Une substance nocive, révèle cette enquête exclusive et exhaustive. Quel est le point commun entre Alzheimer, Parkinson, l’épilepsie, l’anémie, la fatigue chronique, le diabète, la myofasciite à macrophages, l’asthme ? Toutes ces maladies mettent en cause de trop fortes doses d’aluminium. Or ces doses sont sous-estimées par les autorités sanitaires.
Que dire des  vaccins obligatoires (diphtérie, tétanos, poliomyélite) imposés aux  enfants dont la totalité concentre jusqu’à 8 mg d’aluminium alors que le  seuil critique s’établit à 1,5 mg par dose ? Que penser du « syndrome  de la guerre du Golfe », dont souffrent plus de 175 000 soldats, qui ne  serait pas dû aux gaz eux-mêmes, mais aux batteries de vaccins  préventifs que ces hommes ont subis ? L’auteur a rencontré des  témoins qui pour la première fois brisent la loi du silence. Cette  enquête s’appuie aussi sur les conclusions récentes des plus grands  spécialistes de la santé : le Comité consultatif mondial de l’OMS, les  recherches de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de  santé, du Comité supérieur d’hygiène publique de France, de la Direction  générale de la santé, et de nombreuses études scientifiques  internationales.
Virginie Belle est journaliste. Elle a notamment travaillé au Parisien et à France-Soir.

Quel est le point commun entre l’eau du robinet, le fromage, les biscuits, les crèmes nourrissantes, le fond de teint, le rouge à lèvres, les déodorants, le lait en poudre, les vaccins, les œufs ? Tous ces produits contiennent de l’aluminium. Une substance nocive, révèle cette enquête exclusive et exhaustive. Quel est le point commun entre Alzheimer, Parkinson, l’épilepsie, l’anémie, la fatigue chronique, le diabète, la myofasciite à macrophages, l’asthme ? Toutes ces maladies mettent en cause de trop fortes doses d’aluminium. Or ces doses sont sous-estimées par les autorités sanitaires.
Que dire des  vaccins obligatoires (diphtérie, tétanos, poliomyélite) imposés aux  enfants dont la totalité concentre jusqu’à 8 mg d’aluminium alors que le  seuil critique s’établit à 1,5 mg par dose ? Que penser du « syndrome  de la guerre du Golfe », dont souffrent plus de 175 000 soldats, qui ne  serait pas dû aux gaz eux-mêmes, mais aux batteries de vaccins  préventifs que ces hommes ont subis ? L’auteur a rencontré des  témoins qui pour la première fois brisent la loi du silence. Cette  enquête s’appuie aussi sur les conclusions récentes des plus grands  spécialistes de la santé : le Comité consultatif mondial de l’OMS, les  recherches de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de  santé, du Comité supérieur d’hygiène publique de France, de la Direction  générale de la santé, et de nombreuses études scientifiques  internationales.
Virginie Belle est journaliste. Elle a notamment travaillé au Parisien et à France-Soir.
