Ce deuxième livre de Peggy Reboul permet d´aller encore plus loin dans la compréhension du vivant. Il interroge notre relation à l´univers et nous invite à une transformation profonde de nos croyances.
Depuis plus de dix ans, Peggy Reboul fait le lien entre les humains et les animaux. Elle partage ici des messages d´animaux particulièrement impliqués dans la profonde évolution du monde actuel. Elle nous convie à recevoir les enseignements des esprits de la nature, de la mer et de la Terre, à un voyage sur de nombreux plans de conscience, en compagnie d´êtres toujours plus vastes et lumineux, au service de notre humanité.
« L´humain doit d´abord prendre conscience de sa place dans le monde. Qu´il regarde son reflet dans une flaque et qu´il plonge dans les profondeurs de son regard (...) Il verra alors d´où il vient et qui il est, il verra ce qui le relie au vivant. C´est en retrouvant ce sentiment d´unité, de reliance profonde avec l´univers et avec soi que l´on cesse de juger et de condamner les autres, car finalement, dans les autres on se reconnaît. On arrête de se différencier, de se comparer. C´est là le début de l´amour, de la compassion, de l´ouverture à soi, à l´autre et au vivant. »
Andaluz (cheval que l´autrice considère comme son associé)
Ce deuxième livre de Peggy Reboul permet d´aller encore plus loin dans la compréhension du vivant. Il interroge notre relation à l´univers et nous invite à une transformation profonde de nos croyances.
Depuis plus de dix ans, Peggy Reboul fait le lien entre les humains et les animaux. Elle partage ici des messages d´animaux particulièrement impliqués dans la profonde évolution du monde actuel. Elle nous convie à recevoir les enseignements des esprits de la nature, de la mer et de la Terre, à un voyage sur de nombreux plans de conscience, en compagnie d´êtres toujours plus vastes et lumineux, au service de notre humanité.
« L´humain doit d´abord prendre conscience de sa place dans le monde. Qu´il regarde son reflet dans une flaque et qu´il plonge dans les profondeurs de son regard (...) Il verra alors d´où il vient et qui il est, il verra ce qui le relie au vivant. C´est en retrouvant ce sentiment d´unité, de reliance profonde avec l´univers et avec soi que l´on cesse de juger et de condamner les autres, car finalement, dans les autres on se reconnaît. On arrête de se différencier, de se comparer. C´est là le début de l´amour, de la compassion, de l´ouverture à soi, à l´autre et au vivant. »
Andaluz (cheval que l´autrice considère comme son associé)