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BOSC Ernest L´Egyptologie sacrée dévoilée. D´après les textes originaux de Ernest Bosc (1891), nouvelle mise en page Librairie Eklectic

L´Egyptologie sacrée dévoilée. D´après les textes originaux de Ernest Bosc (1891), nouvelle mise en page

Auteur : BOSC Ernest
Editeur : Maçonniques Castelli (Editions)
Nombre de pages : 327
Date de parution : 27/05/2010
Forme : Livre ISBN : 9782352131052
MACON11

NEUF Normalement disponible sur commande
Prix : 33.00€

Extrait de l´avant-propos
"Il n’existe pas de livre sur «l’Égyptologie sacrée», cependant on se met aujourd’hui à étudier l’Egypte comme on ne l´avait jamais fait jusqu’ici, surtout en ce qui concerne sa philosophie.

Autrefois, on ne s’occupait que des arts et de la civilisation de l’antique Égypte ; quant à sa Mythologie, à sa son Art Sacré, à sa Religion, on ne occupait guère, on n’y attachait aucune importance parce qu’on supposait, bien à tort, comme nous allons voir, que la religion Égyptienne consistait uniquement à adorer des chats, des chiens, des ibis, des éperviers, des bœufs et même des oignons; de pareils dieux ne méritaient certes pas de fixer l’attention ! Les prêtres de diverses religions, de même que les Pères de l’Église qui ne voulaient pas que les mythes de leur propre religion fussent, en grande partie du moins, dérivés des mythes Égyptiens, ne sont pas tout à fait étrangers aux fables et, aux absurdités débitées sur la religion Égyptienne.  (...)

Aujourd’hui, grâce aux travaux d’éminents égyptologues, on revient de cette fausse donnée ; on ne croit plus que les Égyptiens fussent assez insensés pour adorer des animaux et même des oignons. Ces grands civilisés ne sont plus la grande énigme d’autrefois, surtout depuis que nous commençons & pouvoir, non seulement déchiffrer, mais lire encore couramment les innombrables papyrus de l’antique Égypte. Aussi nous commençons à avoir une toute autre idée de la philosophie religieuse de cette belle et noble contrée, et apportons-nous beaucoup plus de soin et d’attention à l’étude de cette religion, parce que nous la voyons sous un tout autre jour que celui sous lequel, on nous avait jusqu’ici habitués, en un mot, parce que nous comprenons l’Ésotérisme, ou sens caché de la Religion Égyptienne.

C’est cet Ésotérisme que nous nous proposons de révéler dans le présent volume dont le titre Isis Dévoilée ou l’Égyptologie sacrée, est, comme on voit, caractéristique.

On connait beaucoup de faits positifs, certains, sur l’Égyptologie sacrée, mais on en ignore un bien plus grand -nombre ; ce sont ces faits ‘que nous allons divulguer. Nous connaissons ce que sont les Petits Mystères de l’Initiation, mais nous .sommes persuadés que les Grands Mystères ne sont pas aussi connus que quelques auteurs veulent bien le supposer. Qu’étaient en réalités les Mystères de la Grande Initiation ? Personne ne saurait le dire exactement ; ils comprenaient, sans aucun doute, avec des épreuves matérielles à subir, un ensemble d’études et de connaissances que devait parfaitement savoir l’Adepte ou Initié, pour obtenir le haut grade de Sar ou Mage.

Ces études, qui duraient de longues années, étaient considérables, les connaissances exigées, très approfondies; elles embrassaient toutes les sciences, que les anciens désignaient sous le terme générique de Science Occulte.

 

Aujourd’hui, des esprits éminents recherchent cette science, on commence à la comprendre, à la discuter, à en formuler, nous n’osons dire certaines lois, mais certains principes. Mais quel immense labeur faudra-t-il accomplir encore pour arriver à des conclusions; pour établir dans toute sa vérité, dans son entière lumière, cette science occulte, cet Art. Sacré des Anciens Initiés. Ce sera là, une vaste tâche il est vrai, mais non impossible à parfaire.

Pour la mener à bien, il faudra la réunion d’un grand nombre de travailleurs déterminés. C’est pour fournir notre contingent à ces nobles études, que nous avons entrepris le présent travail qui nous-a demandé des recherches longues et pénibles et une somme d’efforts constants. Ce que nous avons fouillé de livres, de manuscrits, de matériaux de toute sorte, est considérables; nous avons relevé de tous côtés à droite et à gauche des documents et matériaux; puis, nous les avons réunis, condensés, commentés et expliqués.

 

Puisse le lecteur, enfermant ce livre, après dernière lecture, partager cette opinion ! S’il en était ainsi nous serions doublement récompensés de notre travail : par le plaisir de l’avoir produit et de le voir quelque peu apprécié ensuite.


Extrait de l´avant-propos
"Il n’existe pas de livre sur «l’Égyptologie sacrée», cependant on se met aujourd’hui à étudier l’Egypte comme on ne l´avait jamais fait jusqu’ici, surtout en ce qui concerne sa philosophie.

Autrefois, on ne s’occupait que des arts et de la civilisation de l’antique Égypte ; quant à sa Mythologie, à sa son Art Sacré, à sa Religion, on ne occupait guère, on n’y attachait aucune importance parce qu’on supposait, bien à tort, comme nous allons voir, que la religion Égyptienne consistait uniquement à adorer des chats, des chiens, des ibis, des éperviers, des bœufs et même des oignons; de pareils dieux ne méritaient certes pas de fixer l’attention ! Les prêtres de diverses religions, de même que les Pères de l’Église qui ne voulaient pas que les mythes de leur propre religion fussent, en grande partie du moins, dérivés des mythes Égyptiens, ne sont pas tout à fait étrangers aux fables et, aux absurdités débitées sur la religion Égyptienne.  (...)

Aujourd’hui, grâce aux travaux d’éminents égyptologues, on revient de cette fausse donnée ; on ne croit plus que les Égyptiens fussent assez insensés pour adorer des animaux et même des oignons. Ces grands civilisés ne sont plus la grande énigme d’autrefois, surtout depuis que nous commençons & pouvoir, non seulement déchiffrer, mais lire encore couramment les innombrables papyrus de l’antique Égypte. Aussi nous commençons à avoir une toute autre idée de la philosophie religieuse de cette belle et noble contrée, et apportons-nous beaucoup plus de soin et d’attention à l’étude de cette religion, parce que nous la voyons sous un tout autre jour que celui sous lequel, on nous avait jusqu’ici habitués, en un mot, parce que nous comprenons l’Ésotérisme, ou sens caché de la Religion Égyptienne.

C’est cet Ésotérisme que nous nous proposons de révéler dans le présent volume dont le titre Isis Dévoilée ou l’Égyptologie sacrée, est, comme on voit, caractéristique.

On connait beaucoup de faits positifs, certains, sur l’Égyptologie sacrée, mais on en ignore un bien plus grand -nombre ; ce sont ces faits ‘que nous allons divulguer. Nous connaissons ce que sont les Petits Mystères de l’Initiation, mais nous .sommes persuadés que les Grands Mystères ne sont pas aussi connus que quelques auteurs veulent bien le supposer. Qu’étaient en réalités les Mystères de la Grande Initiation ? Personne ne saurait le dire exactement ; ils comprenaient, sans aucun doute, avec des épreuves matérielles à subir, un ensemble d’études et de connaissances que devait parfaitement savoir l’Adepte ou Initié, pour obtenir le haut grade de Sar ou Mage.

Ces études, qui duraient de longues années, étaient considérables, les connaissances exigées, très approfondies; elles embrassaient toutes les sciences, que les anciens désignaient sous le terme générique de Science Occulte.

 

Aujourd’hui, des esprits éminents recherchent cette science, on commence à la comprendre, à la discuter, à en formuler, nous n’osons dire certaines lois, mais certains principes. Mais quel immense labeur faudra-t-il accomplir encore pour arriver à des conclusions; pour établir dans toute sa vérité, dans son entière lumière, cette science occulte, cet Art. Sacré des Anciens Initiés. Ce sera là, une vaste tâche il est vrai, mais non impossible à parfaire.

Pour la mener à bien, il faudra la réunion d’un grand nombre de travailleurs déterminés. C’est pour fournir notre contingent à ces nobles études, que nous avons entrepris le présent travail qui nous-a demandé des recherches longues et pénibles et une somme d’efforts constants. Ce que nous avons fouillé de livres, de manuscrits, de matériaux de toute sorte, est considérables; nous avons relevé de tous côtés à droite et à gauche des documents et matériaux; puis, nous les avons réunis, condensés, commentés et expliqués.

 

Puisse le lecteur, enfermant ce livre, après dernière lecture, partager cette opinion ! S’il en était ainsi nous serions doublement récompensés de notre travail : par le plaisir de l’avoir produit et de le voir quelque peu apprécié ensuite.