"À travers ces petits traités, Malcolm de Chazal, aussi bien poète qu’exégète biblique, expose la Somme qui ouvre la totalité du sens interne des Écritures.
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Après avoir publié Petrusmok, mythe et roman cosmogonique, et les aphorismes lumineux de Sens Magique et de Poèmes - Apparadoxes, les Éditions Léo Scheer publient un ensemble de textes dans lesquels Chazal poursuit le développement de sa théorie de l’unisme.
La Bible du Mal et L’Évangile de l’Eau forment les deux premiers volets d’une trilogie dans laquelle Malcolm de Chazal s’emploie à révéler « le sens intérieur des Écritures », s’appuyant sur les livres mentionnés dans l’Apocalypse.
Chazal, selon sa théorie de l’unisme, et notamment par le biais des analogies et correspondances, procède par geste unitaire, c’est-à-dire qu’il révèle des parties par les autres composants du même tout : il décrypte ici la Bible à la lumière des divers testaments comme autant de clefs interchangeables. En révélant son sens allégorique, il dégage peu à peu la trame biblique intérieure, qui devient la somme de toute connaissance et constitue dès lors le Livre de Science, de Nature, de Religion, de l’Homme unifié. La Bible devient ainsi le « Livre ouvert par excellence ».
Le bref traité qui clôt ce volume, La Fin du monde ?, concerne la prophétie apocalyptique de la fin des temps ; il est à la fois une critique de la religion chrétienne et un « avertissement pour les Nouveaux Temps », créant, toujours selon ce même mode analogique cher à Chazal, une concordance entre « les signes dans le ciel et les signes dans les âmes »."
"À travers ces petits traités, Malcolm de Chazal, aussi bien poète qu’exégète biblique, expose la Somme qui ouvre la totalité du sens interne des Écritures.
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Après avoir publié Petrusmok, mythe et roman cosmogonique, et les aphorismes lumineux de Sens Magique et de Poèmes - Apparadoxes, les Éditions Léo Scheer publient un ensemble de textes dans lesquels Chazal poursuit le développement de sa théorie de l’unisme.
La Bible du Mal et L’Évangile de l’Eau forment les deux premiers volets d’une trilogie dans laquelle Malcolm de Chazal s’emploie à révéler « le sens intérieur des Écritures », s’appuyant sur les livres mentionnés dans l’Apocalypse.
Chazal, selon sa théorie de l’unisme, et notamment par le biais des analogies et correspondances, procède par geste unitaire, c’est-à-dire qu’il révèle des parties par les autres composants du même tout : il décrypte ici la Bible à la lumière des divers testaments comme autant de clefs interchangeables. En révélant son sens allégorique, il dégage peu à peu la trame biblique intérieure, qui devient la somme de toute connaissance et constitue dès lors le Livre de Science, de Nature, de Religion, de l’Homme unifié. La Bible devient ainsi le « Livre ouvert par excellence ».
Le bref traité qui clôt ce volume, La Fin du monde ?, concerne la prophétie apocalyptique de la fin des temps ; il est à la fois une critique de la religion chrétienne et un « avertissement pour les Nouveaux Temps », créant, toujours selon ce même mode analogique cher à Chazal, une concordance entre « les signes dans le ciel et les signes dans les âmes »."