De très anciens objets de culte, perdus et oubliés par terre dans les forêts des Corbières, sont-ils une clef du mystère de Rennes-le-Château ? À suivre les indications de Henri Boudet (dans La Vraie Langue celtique) et de René Guénon (dans Le Roi du Monde, entre autres), oui. Il s´agit de pierres à l´aspect inexplicable - et pour lors inexpliqué - qui sont appelées « pierres de foudre ».
Percées, gravées, marquées de lettres, de runes et de formes géométriques d´origine inconnue, elles se trouvent à l´endroit ou à proximité d´anciens sanctuaires celtiques, wisigothiques, cathares et templiers, depuis Montségur jusqu´à Opoul-Périllos en passant par Bugarach.
Vestiges des temps mythiques, à l´époque où les dieux et les géants vivaient parmi nous, elles portent les traces des grands combats et des guerres planétaires à l´origine de notre monde et de notre histoire. A l´heure où celle-ci se termine, et où nous sommes en train de changer de monde, les pierres de foudre nous rendent la mémoire sans laquelle nous risquons encore de répéter les mêmes erreurs. Porteuses d´influences spirituelles, d´une qualité vibratoire maximale, elles sont un souvenir des âges farouches, lorsque nous étions en prise directe avec les forces supra-humaines qu´on appelle « anges » et « dieux », et qui nous ont laissé ce témoignage tangible de leur présence, à l´heure où l´humanité est appelée à transcender ses limites pour accéder à sa pleine et entière identité.
« Au cap des sept cents ans », c´est maintenant.
De très anciens objets de culte, perdus et oubliés par terre dans les forêts des Corbières, sont-ils une clef du mystère de Rennes-le-Château ? À suivre les indications de Henri Boudet (dans La Vraie Langue celtique) et de René Guénon (dans Le Roi du Monde, entre autres), oui. Il s´agit de pierres à l´aspect inexplicable - et pour lors inexpliqué - qui sont appelées « pierres de foudre ».
Percées, gravées, marquées de lettres, de runes et de formes géométriques d´origine inconnue, elles se trouvent à l´endroit ou à proximité d´anciens sanctuaires celtiques, wisigothiques, cathares et templiers, depuis Montségur jusqu´à Opoul-Périllos en passant par Bugarach.
Vestiges des temps mythiques, à l´époque où les dieux et les géants vivaient parmi nous, elles portent les traces des grands combats et des guerres planétaires à l´origine de notre monde et de notre histoire. A l´heure où celle-ci se termine, et où nous sommes en train de changer de monde, les pierres de foudre nous rendent la mémoire sans laquelle nous risquons encore de répéter les mêmes erreurs. Porteuses d´influences spirituelles, d´une qualité vibratoire maximale, elles sont un souvenir des âges farouches, lorsque nous étions en prise directe avec les forces supra-humaines qu´on appelle « anges » et « dieux », et qui nous ont laissé ce témoignage tangible de leur présence, à l´heure où l´humanité est appelée à transcender ses limites pour accéder à sa pleine et entière identité.
« Au cap des sept cents ans », c´est maintenant.