Pour la première fois dans l’édition francophone, cet ouvrage fait découvrir un mouvement important et quasi inconnu en Europe continentale : l’écopsychologie. Cristallisée dans les années 1990 en Californie et développée depuis lors essentiellement dans le monde anglo-saxon, l’écopsychologie estime que l’écologie et la psychologie ont besoin l’une de l’autre. Pour ses promoteurs, l’aliénation de l’humanité par rapport à son habitat naturel ne serait pas étrangère aux formes d’addiction à la consommation et aux techniques de masse. Pour s’en préserver, ils inventent l’idée féconde d’inconscient écologique à partir de laquelle se profilent des thérapies prometteuses sollicitant l’immersion dans la nature sauvage ou la sollicitation des animaux. Un champ d’intervention important est l’éducation qui doit permettre à l’enfant de se construire une identité personnelle en interrelation non seulement avec la culture et les autres humains, mais avec la nature et le monde du vivant en général.
Sociologue et journaliste de formation, Michel Maxime Egger travaille en tant que lobbyiste pour le développement durable et des relations Nord-Sud plus équitables. Il a fondé le réseau « Trilogies » qui met en dialogue traditions spirituelles et grandes problématiques de notre temps. Dernier livre paru : « La Terre comme soi-même », Labor et Fides, 2012.
Pour la première fois dans l’édition francophone, cet ouvrage fait découvrir un mouvement important et quasi inconnu en Europe continentale : l’écopsychologie. Cristallisée dans les années 1990 en Californie et développée depuis lors essentiellement dans le monde anglo-saxon, l’écopsychologie estime que l’écologie et la psychologie ont besoin l’une de l’autre. Pour ses promoteurs, l’aliénation de l’humanité par rapport à son habitat naturel ne serait pas étrangère aux formes d’addiction à la consommation et aux techniques de masse. Pour s’en préserver, ils inventent l’idée féconde d’inconscient écologique à partir de laquelle se profilent des thérapies prometteuses sollicitant l’immersion dans la nature sauvage ou la sollicitation des animaux. Un champ d’intervention important est l’éducation qui doit permettre à l’enfant de se construire une identité personnelle en interrelation non seulement avec la culture et les autres humains, mais avec la nature et le monde du vivant en général.
Sociologue et journaliste de formation, Michel Maxime Egger travaille en tant que lobbyiste pour le développement durable et des relations Nord-Sud plus équitables. Il a fondé le réseau « Trilogies » qui met en dialogue traditions spirituelles et grandes problématiques de notre temps. Dernier livre paru : « La Terre comme soi-même », Labor et Fides, 2012.