Entre 50 et 90% des abeilles ont disparu depuis quinze ans. Cette épidémie, d´une violence et d´une ampleur phénoménale, est en train de se propager de ruche en ruche sur toute la planète. Partout, le même scénario : par milliards, les abeilles quittent leurs ruches pour ne plus y revenir. Aucun cadavre à proximité. Aucun prédateur visible.
Arrivée sur Terre 60 millions d´années avant l´homme, l´Apis mellifera (l´abeille à miel) est aussi indispensable à notre économie qu´à notre survie. Aujourd´hui, nous avons tous de quoi être préoccupés : 80% des espèces végétales ont besoin des abeilles pour être fécondées. Sans elles, pas de pollinisation, donc pratiquement plus de fruits, ni légumes.
Il y a soixante ans, Einstein avait déjà insisté sur la relation de dépendance qui lie les butineuses à l´homme : "Si l´abeille disparaissait du globe, l´homme n´aurait plus que quatre années à vivre."
Entre 50 et 90% des abeilles ont disparu depuis quinze ans. Cette épidémie, d´une violence et d´une ampleur phénoménale, est en train de se propager de ruche en ruche sur toute la planète. Partout, le même scénario : par milliards, les abeilles quittent leurs ruches pour ne plus y revenir. Aucun cadavre à proximité. Aucun prédateur visible.
Arrivée sur Terre 60 millions d´années avant l´homme, l´Apis mellifera (l´abeille à miel) est aussi indispensable à notre économie qu´à notre survie. Aujourd´hui, nous avons tous de quoi être préoccupés : 80% des espèces végétales ont besoin des abeilles pour être fécondées. Sans elles, pas de pollinisation, donc pratiquement plus de fruits, ni légumes.
Il y a soixante ans, Einstein avait déjà insisté sur la relation de dépendance qui lie les butineuses à l´homme : "Si l´abeille disparaissait du globe, l´homme n´aurait plus que quatre années à vivre."