En écrivant ce livre, l’auteur a cherché à aider ses lecteurs à comprendre que leur fonctionnement quotidien est largement soumis à un mécanisme de souffrance dont ils n’ont pas conscience. Un mécanisme dont on ne peut pas dire qu’il soit une réussite alors qu’il existe une autre manière de fonctionner, sans souffrance. À partir d’un questionnement sur cette souffrance, nous pouvons arriver au pardon, à commencer par celui du mal qu’on nous a fait. En pardonnant à l’autre, nous nous affranchissons de ce mal mais nous aidons aussi l’autre à se libérer. L’auteur révèle des blessures de l’âme, dénonce les loyautés familiales et les croyances parce qu’elles cautionnent la souffrance et engage à libérer le ressentiment collectif provoqué par certaines périodes de l’humanité. La prise de conscience de ce ressentiment collectif qui nous gouverne représente le premier pas de notre libération individuelle puis de celle du groupe familial et social auquel nous appartenons. Démarche vers une vie plus libre où la souffrance n’est plus la référence ultime…