Par une lecture attentive et sa connaissance intime de l’Espagne, où elle a longtemps vécu, par aussi son apprentissage passionné des langues anciennes (l’araméen et l’hébreu) en vue de cette élucidation, Dominique Aubier a accédé à l’œuvre manifestement scellée, mystique, dans le Quichotte, où s’identifie la culture espagnole.
Les aventures de l’Hidalgo de la Manche ne sont qu’une projection didactique, implicite, du Zohar, condensation de la Kabbale qui procède de Siméon Bar Yohaï (I et II siècles), tradition qui préserve la refondation du judaïsme par Ézéchiel. Ainsi, l’ouvrage de Cervantès serait le dépositaire d’une parole nécessairement cryptée face à l’Inquisition triomphante.
Don Quichotte, prophète d’Israël est remarquable tant par son propos, l´énonciation d’une prophétie, que par sa méthode.
Soucieuse de restituer la démarche de l’œuvre, évitant toute thèse ou hypothèse, Dominique Aubier s’arrête à chaque pas ou aventure de l’Hidalgo, répondant ainsi à l’interrogation qu’il pose.
Cette approche, curieusement (ou très logiquement), est parallèle à celle de Wilhelm Fraenger qui, vingt ans auparavant, a simplement accepté de voir l’évidence du Royaume millénaire de Jérôme Bosch (Ivrea, 1993), autre « synthèse », historiquement inattendue (la rose-croix) du judéo-christianisme en Espagne.
Wilhelm Fraenger lui aussi a, par attention à l’œuvre de Jérôme Bosch/Jacob von Almaengien (von Almaengien dont l’enseignement, à sa façon, intègre l’enseignement du Zohar de Moïse de Léon), reformulé la pédagogie du Royaume millénaire, volonté de préserver le judaïsme par un retour au christianisme primitif.
Par une lecture attentive et sa connaissance intime de l’Espagne, où elle a longtemps vécu, par aussi son apprentissage passionné des langues anciennes (l’araméen et l’hébreu) en vue de cette élucidation, Dominique Aubier a accédé à l’œuvre manifestement scellée, mystique, dans le Quichotte, où s’identifie la culture espagnole.
Les aventures de l’Hidalgo de la Manche ne sont qu’une projection didactique, implicite, du Zohar, condensation de la Kabbale qui procède de Siméon Bar Yohaï (I et II siècles), tradition qui préserve la refondation du judaïsme par Ézéchiel. Ainsi, l’ouvrage de Cervantès serait le dépositaire d’une parole nécessairement cryptée face à l’Inquisition triomphante.
Don Quichotte, prophète d’Israël est remarquable tant par son propos, l´énonciation d’une prophétie, que par sa méthode.
Soucieuse de restituer la démarche de l’œuvre, évitant toute thèse ou hypothèse, Dominique Aubier s’arrête à chaque pas ou aventure de l’Hidalgo, répondant ainsi à l’interrogation qu’il pose.
Cette approche, curieusement (ou très logiquement), est parallèle à celle de Wilhelm Fraenger qui, vingt ans auparavant, a simplement accepté de voir l’évidence du Royaume millénaire de Jérôme Bosch (Ivrea, 1993), autre « synthèse », historiquement inattendue (la rose-croix) du judéo-christianisme en Espagne.
Wilhelm Fraenger lui aussi a, par attention à l’œuvre de Jérôme Bosch/Jacob von Almaengien (von Almaengien dont l’enseignement, à sa façon, intègre l’enseignement du Zohar de Moïse de Léon), reformulé la pédagogie du Royaume millénaire, volonté de préserver le judaïsme par un retour au christianisme primitif.