Le néolibéralisme impose à tous les pays du monde sa logique et sa mythologie. Il provoque partout une régression sociale, politique, et culturelle affectant les hommes et la nature. Le résultat est un ras-le-bol mondialisé des peuples qui dans tous les pays, avec plus ou moins de force et de cohérence, expriment leur colère. Le mouvement populaire est passé à l´offensive contre des gouvernants qui ne sont le plus souvent que les gestionnaires d´un capitalisme spéculatif de plus en plus corrompu.
Mais les peuples se dressent aussi contre les pouvoirs révolutionnaires qui ne vont pas jusqu´au bout de leurs ambitions proclamées. L´issue de ce mouvement est encore incertaine, la confusion idéologique et les convergences mal assurées obscurcissent la guerre sociale : " Les hommes appellent au secours, mais ils ne savent pas encore qui ". Il est vrai que pour ouvrir des chemins nouveaux, il faut tant se tromper et pour une victoire il faut tant de vaincus ! Cet essai tente de répondre à l´exigence de Jean-Marie Le Clézio : " Je veux écrire pour être du côté de ceux qui voient le monde tel qu´il est " (L´Inconnu sur la terre.
1978). Car si nous ne sommes pas tous responsables des victimes, nous le sommes tous devant elles.
Le néolibéralisme impose à tous les pays du monde sa logique et sa mythologie. Il provoque partout une régression sociale, politique, et culturelle affectant les hommes et la nature. Le résultat est un ras-le-bol mondialisé des peuples qui dans tous les pays, avec plus ou moins de force et de cohérence, expriment leur colère. Le mouvement populaire est passé à l´offensive contre des gouvernants qui ne sont le plus souvent que les gestionnaires d´un capitalisme spéculatif de plus en plus corrompu.
Mais les peuples se dressent aussi contre les pouvoirs révolutionnaires qui ne vont pas jusqu´au bout de leurs ambitions proclamées. L´issue de ce mouvement est encore incertaine, la confusion idéologique et les convergences mal assurées obscurcissent la guerre sociale : " Les hommes appellent au secours, mais ils ne savent pas encore qui ". Il est vrai que pour ouvrir des chemins nouveaux, il faut tant se tromper et pour une victoire il faut tant de vaincus ! Cet essai tente de répondre à l´exigence de Jean-Marie Le Clézio : " Je veux écrire pour être du côté de ceux qui voient le monde tel qu´il est " (L´Inconnu sur la terre.
1978). Car si nous ne sommes pas tous responsables des victimes, nous le sommes tous devant elles.