Henri Le Saux est moine de l´abbaye bénédictine de Kergonan.
A 38 ans, en 1948, il rejoint dans le sud de l´Inde, le Père Monchanin, avec qui il partage le même désir d´une présence contemplative chrétienne en Inde. Ensemble, ils fondent l´ashram du Shantivanam en 1950 [qui existe toujours], une sorte de laure d´ermites appelée dans leur esprit à devenir le lieu d´une rencontre vécue entre le christianisme et les traditions spirituelles de l´Inde.
Puis, Henri Le Saux s´éloigne peu à peu de l´ashram pour répondre à un appel intérieur plus radical qui le conduit vers le nord, l´Himalaya et les sources du Gange où, devenu Swami Abhishiktananda, il vivra, jusqu´à sa mort en 1973, l´existence d´un sadhou, c´est-à-dire, d´un moine errant hindou.
" Fidèle à son habitude, Patrice Chagnard s´abstient de tout commentaire : des photos, des bribes de lettres, des extraits de journal intime jalonnent cet itinéraire difficile et parfois troublant. Que ce soit en Bretagne ou en Inde, sa caméra inspirée filme l´indicible. Et c´est diablement beau... "
- Jannick Arbois-Chartier — Télérama
" Le très beau film que Patrice Chagnard a réalisé montre bien la lutte intérieure vécue par ce grand mystique qui voulait jeter un pont entre chrétiens et hindous. "
- Alain Woodrow — Le Monde
Henri Le Saux est moine de l´abbaye bénédictine de Kergonan.
A 38 ans, en 1948, il rejoint dans le sud de l´Inde, le Père Monchanin, avec qui il partage le même désir d´une présence contemplative chrétienne en Inde. Ensemble, ils fondent l´ashram du Shantivanam en 1950 [qui existe toujours], une sorte de laure d´ermites appelée dans leur esprit à devenir le lieu d´une rencontre vécue entre le christianisme et les traditions spirituelles de l´Inde.
Puis, Henri Le Saux s´éloigne peu à peu de l´ashram pour répondre à un appel intérieur plus radical qui le conduit vers le nord, l´Himalaya et les sources du Gange où, devenu Swami Abhishiktananda, il vivra, jusqu´à sa mort en 1973, l´existence d´un sadhou, c´est-à-dire, d´un moine errant hindou.
" Fidèle à son habitude, Patrice Chagnard s´abstient de tout commentaire : des photos, des bribes de lettres, des extraits de journal intime jalonnent cet itinéraire difficile et parfois troublant. Que ce soit en Bretagne ou en Inde, sa caméra inspirée filme l´indicible. Et c´est diablement beau... "
- Jannick Arbois-Chartier — Télérama
" Le très beau film que Patrice Chagnard a réalisé montre bien la lutte intérieure vécue par ce grand mystique qui voulait jeter un pont entre chrétiens et hindous. "
- Alain Woodrow — Le Monde