Écrivain érudit et poète talentueux, Jean Biès est l’auteur d’une œuvre abondante où se côtoient carnets
de voyage, essais philosophiques, traités savants, récits de rencontres, autobiographies et poésies.
Du 1er juillet 1950, alors qu’il n’a pas dix-sept ans, au 31 décembre 2007, Jean Biès tient un Journal intime
où se retrouve condensé l’essentiel de son œuvre et de sa quête personnelle. Parsemé de rencontres improbables, de notes de voyage et de lecture, de réflexions morales et esthétiques, d’événements heureux ou malheureux, de références à son métier de professeur de lettres et à son activité d’écrivain, ce carnet de bordéminemment poétique et spirituel est aussi un hommage poignant à celle qui, cinquante ans durant, fut son inspiratrice et initiatrice à la psychologie des profondeurs, sa femme tant aimée dont l’entrée dans la maladie “sans nom” interrompra le cours de ce journal.
Véritable célébration de la nature et de la beauté cosmique, inspirées par un perpétuel recours à la sagesse
unanime et intemporelle et servies par une langue admirable, ces annotations collectées au fil des jours se
conjuguent intimement avec l’Histoire décryptée depuis son “esplumoir”, son singulier atelier d’écriture enraciné au cœur de son Béarn d’adoption.
Écrivain érudit et poète talentueux, Jean Biès est l’auteur d’une œuvre abondante où se côtoient carnets
de voyage, essais philosophiques, traités savants, récits de rencontres, autobiographies et poésies.
Du 1er juillet 1950, alors qu’il n’a pas dix-sept ans, au 31 décembre 2007, Jean Biès tient un Journal intime
où se retrouve condensé l’essentiel de son œuvre et de sa quête personnelle. Parsemé de rencontres improbables, de notes de voyage et de lecture, de réflexions morales et esthétiques, d’événements heureux ou malheureux, de références à son métier de professeur de lettres et à son activité d’écrivain, ce carnet de bordéminemment poétique et spirituel est aussi un hommage poignant à celle qui, cinquante ans durant, fut son inspiratrice et initiatrice à la psychologie des profondeurs, sa femme tant aimée dont l’entrée dans la maladie “sans nom” interrompra le cours de ce journal.
Véritable célébration de la nature et de la beauté cosmique, inspirées par un perpétuel recours à la sagesse
unanime et intemporelle et servies par une langue admirable, ces annotations collectées au fil des jours se
conjuguent intimement avec l’Histoire décryptée depuis son “esplumoir”, son singulier atelier d’écriture enraciné au cœur de son Béarn d’adoption.