L´Europe est en malaise de ne plus savoir que faire, aujourd´hui, du christianisme.
Or, si nous évitons la question du christianisme, c´est, je crois, que le clivage entre « celui qui croyait au ciel » et « celui qui n´y croyait pas » n´est plus pertinent.
Aussi aborderai-je le christianisme à titre de ressources. Celles-ci sont, disponibles, à qui les explore et les exploite. À titre de ressources : l´écart des langues et des Evangiles ouvrant un entre réflexif ; qu´un événement soit possible et qu´il soit la vie même ; qu´il faille désadhérer du vital pour accéder à l´originairement vivant ; que Dieu Père dé-coïncide en son Fils pour s´activer en Dieu ; ou qu´il faille se tenir hors du monde pour rencontrer l´Autre...
Une reconfiguration radicale de la vérité.
Sans y entrer par la foi, on suivra, dans Jean, des filons féconds d´une pensée de l´existence.
Pourquoi s´en priver ?
L´Europe est en malaise de ne plus savoir que faire, aujourd´hui, du christianisme.
Or, si nous évitons la question du christianisme, c´est, je crois, que le clivage entre « celui qui croyait au ciel » et « celui qui n´y croyait pas » n´est plus pertinent.
Aussi aborderai-je le christianisme à titre de ressources. Celles-ci sont, disponibles, à qui les explore et les exploite. À titre de ressources : l´écart des langues et des Evangiles ouvrant un entre réflexif ; qu´un événement soit possible et qu´il soit la vie même ; qu´il faille désadhérer du vital pour accéder à l´originairement vivant ; que Dieu Père dé-coïncide en son Fils pour s´activer en Dieu ; ou qu´il faille se tenir hors du monde pour rencontrer l´Autre...
Une reconfiguration radicale de la vérité.
Sans y entrer par la foi, on suivra, dans Jean, des filons féconds d´une pensée de l´existence.
Pourquoi s´en priver ?