
		Le grand œuvre de Louis Lavelle, La dialectique de l’éternel présent,  devait se conclure par un volume sur la sagesse. Si sa disparition en  1951 ne lui a pas permis d´écrire ce volume, on trouve dans les livres  qu’il a publiés des textes sur la sagesse et il a laissé par ailleurs  des notes inédites consacrées à ce thème. En regroupant ces différents  fragments, le lecteur voit se dessiner les contours essentiels que  revêtait aux yeux de Lavelle la notion de sagesse. 
 Selon le philosophe, la vraie sagesse ne se limite ni à l’idéal grec de  mesure, ni à l’idéal cartésien de rationalité, mais s’ouvre à  l’expérience intérieure de l´esprit. À une époque où la recherche de la  sagesse, trop souvent oubliée par la philosophie, revêt une importance  cruciale, vitale même, les textes de Chemins de sagesse ont l’insigne  mérite de poser les jalons d’une vie en harmonie avec le monde, autrui  et l’absolu.

Le grand œuvre de Louis Lavelle, La dialectique de l’éternel présent,  devait se conclure par un volume sur la sagesse. Si sa disparition en  1951 ne lui a pas permis d´écrire ce volume, on trouve dans les livres  qu’il a publiés des textes sur la sagesse et il a laissé par ailleurs  des notes inédites consacrées à ce thème. En regroupant ces différents  fragments, le lecteur voit se dessiner les contours essentiels que  revêtait aux yeux de Lavelle la notion de sagesse. 
 Selon le philosophe, la vraie sagesse ne se limite ni à l’idéal grec de  mesure, ni à l’idéal cartésien de rationalité, mais s’ouvre à  l’expérience intérieure de l´esprit. À une époque où la recherche de la  sagesse, trop souvent oubliée par la philosophie, revêt une importance  cruciale, vitale même, les textes de Chemins de sagesse ont l’insigne  mérite de poser les jalons d’une vie en harmonie avec le monde, autrui  et l’absolu.
