La thèse de cet ouvrage est que l’art est une expression de la subjectivité, non seulement de la subjectivité relative, déjà psychologisée et mêlée au monde, mais tout autant et primordialement, de la subjectivité humaine absolue que la démarche transcendantale s’efforce, sinon de mettre au jour, du moins de cerner. L’entreprise de l’auteur s’appuie sur Schelling qui a su découvrir dans le produit de l’art le fruit de la conjonction des deux activités du psychisme conscient et inconscient, sur Balzac chez qui, en dépit du parti pris réaliste, émerge le projet de donner à voir la cause dans l’effet, soit l’âme à travers le corps, et sur Michel Henry qui conçoit l’art comme une phénoménologie, un rendre visible. Les résultats de l’analyse sont appliqués à la théorie de la littérature fantastique.
La thèse de cet ouvrage est que l’art est une expression de la subjectivité, non seulement de la subjectivité relative, déjà psychologisée et mêlée au monde, mais tout autant et primordialement, de la subjectivité humaine absolue que la démarche transcendantale s’efforce, sinon de mettre au jour, du moins de cerner. L’entreprise de l’auteur s’appuie sur Schelling qui a su découvrir dans le produit de l’art le fruit de la conjonction des deux activités du psychisme conscient et inconscient, sur Balzac chez qui, en dépit du parti pris réaliste, émerge le projet de donner à voir la cause dans l’effet, soit l’âme à travers le corps, et sur Michel Henry qui conçoit l’art comme une phénoménologie, un rendre visible. Les résultats de l’analyse sont appliqués à la théorie de la littérature fantastique.