Comment est-on passé des constructeurs du Moyen âge, dont la vocation était de bâtir des édifices civils ou religieux, à la Franc-Maçonnerie, société d’hommes qui se réunissent pour travailler en commun dans le but de bâtir leur Temple Intérieur ?
Existe-t-il une continuité historique entre les confréries des tailleurs de pierre et les Francs-Maçons ? Ou bien, s’agit-il d’une légende, savamment entretenue par les « inventeurs » de la Maçonnerie au XVIIIe siècle ? Mais, alors, pourquoi dans l’Angleterre du XVIIe siècle, des notables et des intellectuels, comme Elias Ashmole, membre de la Royal Society, se sont-ils fait recevoir « maçons », et dans quelles loges ?
Jean-François Blondel nous retrace le contexte historique qui vit la création de la première Grande Loge de Londres, un certain 24 Juin 1717, à partir de quatre loges dont on dit qu’elles existaient de temps « immémorial ». Il montre que c’est la Renaissance et l’influence d’une philosophie nouvelle sur l’architecture et l’art de bâtir, mêlée d’humanisme et de redécouverte de l’antique, qui sont à l’origine des courants de pensée qui ont convergé un jour pour créer la Franc-maçonnerie.
L’auteur nous montre que le symbolisme de la Franc-Maçonnerie ne devient vraiment cohérent qu’à la lumière de l’héritage des maçons opératifs et de la compréhension des symboles qu’ils nous ont légués.
Ce livre synthétise et présente au lecteur les plus récentes découvertes des historiens anglais et français sur la question encore mystérieuse des origines de la Franc-Maçonnerie.
Comment est-on passé des constructeurs du Moyen âge, dont la vocation était de bâtir des édifices civils ou religieux, à la Franc-Maçonnerie, société d’hommes qui se réunissent pour travailler en commun dans le but de bâtir leur Temple Intérieur ?
Existe-t-il une continuité historique entre les confréries des tailleurs de pierre et les Francs-Maçons ? Ou bien, s’agit-il d’une légende, savamment entretenue par les « inventeurs » de la Maçonnerie au XVIIIe siècle ? Mais, alors, pourquoi dans l’Angleterre du XVIIe siècle, des notables et des intellectuels, comme Elias Ashmole, membre de la Royal Society, se sont-ils fait recevoir « maçons », et dans quelles loges ?
Jean-François Blondel nous retrace le contexte historique qui vit la création de la première Grande Loge de Londres, un certain 24 Juin 1717, à partir de quatre loges dont on dit qu’elles existaient de temps « immémorial ». Il montre que c’est la Renaissance et l’influence d’une philosophie nouvelle sur l’architecture et l’art de bâtir, mêlée d’humanisme et de redécouverte de l’antique, qui sont à l’origine des courants de pensée qui ont convergé un jour pour créer la Franc-maçonnerie.
L’auteur nous montre que le symbolisme de la Franc-Maçonnerie ne devient vraiment cohérent qu’à la lumière de l’héritage des maçons opératifs et de la compréhension des symboles qu’ils nous ont légués.
Ce livre synthétise et présente au lecteur les plus récentes découvertes des historiens anglais et français sur la question encore mystérieuse des origines de la Franc-Maçonnerie.