Le point commun aux deux mondialisations est leur dimension universelle.
Qu’elles soient de sens contraire interroge sur le sens de cette notion.
Forgée par la tradition philosophique occidentale, quel rapport a t’elle avec l’idée chinoise d’une centralité à laquelle tout se rapporterait?
Comment concilier son côté assertif et positif avec l’idéal d´équilibre des contraires autour d’une sorte d’ellipse, qui en serait l’équivalent chinois, mais inverse?
Citoyens d’une humanité appelée à se comprendre comme globale, mais faite de nations, de peuples, de cultures diverses, la mondialisation ambiante nous pose la question du sens à lui donner.
L’objet de la table Ronde qui a réuni aux Treilles, du 16 au 21 mai 2011, dix scientifiques et intellectuels chinois et dix intellectuels français, était de réfléchir aux conditions d’une pensée de l’universel et du particulier, du spécifique et de l’étranger, à partir d’un examen du concept de nation dans les deux traditions française et chinoise.
L’écart qu’un tel exercice met en œuvre et en évidence aide à poser les problèmes très concrets de l’universel (ceux du droit, des valeurs, des normes, etc...) non par voie d’extension ou de confrontation, mais d’une manière critique et constructive. On y prend la mesure du degré auquel les différences culturelles sont une ressource puissante pour la bonne intelligence entre les nations, pour peu qu’on les fasse travailler.
Le présent ouvrage rassemble les communications présentées et une synthèse des débats qui ont approfondi cette question clé du siècle présent..
Le point commun aux deux mondialisations est leur dimension universelle.
Qu’elles soient de sens contraire interroge sur le sens de cette notion.
Forgée par la tradition philosophique occidentale, quel rapport a t’elle avec l’idée chinoise d’une centralité à laquelle tout se rapporterait?
Comment concilier son côté assertif et positif avec l’idéal d´équilibre des contraires autour d’une sorte d’ellipse, qui en serait l’équivalent chinois, mais inverse?
Citoyens d’une humanité appelée à se comprendre comme globale, mais faite de nations, de peuples, de cultures diverses, la mondialisation ambiante nous pose la question du sens à lui donner.
L’objet de la table Ronde qui a réuni aux Treilles, du 16 au 21 mai 2011, dix scientifiques et intellectuels chinois et dix intellectuels français, était de réfléchir aux conditions d’une pensée de l’universel et du particulier, du spécifique et de l’étranger, à partir d’un examen du concept de nation dans les deux traditions française et chinoise.
L’écart qu’un tel exercice met en œuvre et en évidence aide à poser les problèmes très concrets de l’universel (ceux du droit, des valeurs, des normes, etc...) non par voie d’extension ou de confrontation, mais d’une manière critique et constructive. On y prend la mesure du degré auquel les différences culturelles sont une ressource puissante pour la bonne intelligence entre les nations, pour peu qu’on les fasse travailler.
Le présent ouvrage rassemble les communications présentées et une synthèse des débats qui ont approfondi cette question clé du siècle présent..