CONNEXION perm_identity Panier vide shopping_cart

TOUS LES TITRES

HANNAH Barbara Jung, sa vie, son oeuvre. Une biographie d´après les souvenirs de Barbara Hannah Librairie Eklectic

Jung, sa vie, son oeuvre. Une biographie d´après les souvenirs de Barbara Hannah

Auteur : HANNAH Barbara
Editeur : FONTAINE DE PIERRE (LA)
Nombre de pages : 480
Date de parution : 02/01/2006
Forme : Livre ISBN : 9782902707461
FP19

NEUF Normalement disponible sur commande
Prix : 24.00€

"«Tout au long des trente-deux années où je connus Jung, écrit Barbara Hannah dans Jung, sa vie et son oeuvre, je pris l’habitude, après les séances d’analyse ou après des conversations particulièrement intéressantes, de consigner par écrit tout ce qui s’était passé et que je pouvais me rappeler (p. 267).»
Les éventuelles défaillances de la mémoire se trouvent donc relayées, dans cette biographie, par des notes prises au moment même où Jung vivait les événements relatés. Le récit des années vécues avant que l’auteur ne le connaisse se fonde sur les souvenirs autobiographiques de Jung, Ma Vie, et sur ceux qu’il lui a directement confiés.
Dans cet ouvrage, c’est l’homme très vivant, très humain, qui apparaît, et c’est aussi le chercheur des profondeurs de l’âme humaine. Les découvertes fondamentales de Jung dans le domaine de la psychologie sont en effet mises en relation avec son vécu, avec son exploration du monde intérieur, en même temps qu’elles sont présentées et analysées au fil de résumés extrêmement pertinents de ses livres.
Barbara Hannah a rencontré Jung en 1929. Après avoir été son élève, elle est devenue une collaboratrice, une amie. Une très grande compréhension de la psychologie junguienne alliée à un important travail d’analyste, des liens tissés avec Jung et sa famille, son entourage, font de l’auteur une des continuatrices les plus fidèles à son esprit ainsi qu’un des principaux témoins de sa vie.
---------------
Précisions sur Barabarza Hannah :
D’origine écossaise, la famille de Barbara Hannah était installée depuis deux générations en Angleterre quand elle-même est née à Brighton. Elle a passé son enfance à Chichester. Son père était pasteur de l’Église anglicane, ce qui rapprochait son expérience de celle de Jung, lui aussi enfant de pasteur.
Elle demeurait à Paris pour travailler la peinture et le dessin quand on lui offrit un livre de Jung qui la toucha tant que, passionnée, elle se mit à lire l’ensemble de ses ouvrages disponibles en anglais. À cette lecture, elle sentait que sa vie était en train de changer radicalement. Des rêves l’incitèrent à écrire à Jung et à se rendre à Zurich pour le voir : c’était en 1929. Elle ne quitta plus Zurich et se voua dès lors entièrement à la psychologie junguienne.
Dans la préface de la biographie qu’elle a consacrée à Jung, elle révèle : «Jung disait souvent que notre point de rencontre à lui et à moi, c’était mon très profond intérêt pour la totalité de la psyché, pour le processus d’individuation, comme il disait (p. 8).» Et, ajoute-t-elle plus loin (p. 235), «ce fut une grande chance pour moi que d’ouvrir mon séjour zurichois sur la découverte de ce symbole fondamental qu’est le mandala - lequel correspondait exactement à une passion que la peinture avait déjà éveillée en moi : l’amour de la totalité».
Très vite, Barbara Hannah fut acceptée aux cours et aux séminaires que Jung donnait et se lia d’amitié avec certains de ses proches. Peu à peu des liens se tissèrent aussi avec Jung et sa famille.
Elle devint analyste et fut infiniment appréciée dans ce travail d’aide et de soutien, d’élargissement de la conscience. À quatre-vingt-quatorze ans, elle continuait de recevoir, toujours très sollicitée et aimée pour ses côtés directs, naturels, pour son humour, ainsi que pour son immense rigueur et sa grande compassion. Il est rapporté qu’elle disait que les trois règles, en analyse, étaient : «Patience, patience, patience», tant sa confiance en l’inconscient et en la sagesse qui émane de lui était totale.
La langue maternelle de Barbara Hannah était l’anglais, et elle savait aussi l’allemand, naturellement, et le français. Mettant ses connaissances au service de Jung, elle participa à la traduction en anglais de certains de ses ouvrages ou articles et, lorsque Jung écrivait directement en anglais, elle en corrigeait la langue. Elle connaissait parfaitement l’oeuvre de Jung pour l’avoir lue et relue maintes fois.
Les conférences, puis les cours et les séminaires qu’elle donnait avaient pour but d’expliciter certains points de la psychologie junguienne, comme l’animus et l’anima, le processus d’individuation, la totalité faite de l’acceptation des contraires, l’imagination active. Aimant beaucoup les animaux, elle consacrait également des séminaires au chat, au chien, au cheval."


"«Tout au long des trente-deux années où je connus Jung, écrit Barbara Hannah dans Jung, sa vie et son oeuvre, je pris l’habitude, après les séances d’analyse ou après des conversations particulièrement intéressantes, de consigner par écrit tout ce qui s’était passé et que je pouvais me rappeler (p. 267).»
Les éventuelles défaillances de la mémoire se trouvent donc relayées, dans cette biographie, par des notes prises au moment même où Jung vivait les événements relatés. Le récit des années vécues avant que l’auteur ne le connaisse se fonde sur les souvenirs autobiographiques de Jung, Ma Vie, et sur ceux qu’il lui a directement confiés.
Dans cet ouvrage, c’est l’homme très vivant, très humain, qui apparaît, et c’est aussi le chercheur des profondeurs de l’âme humaine. Les découvertes fondamentales de Jung dans le domaine de la psychologie sont en effet mises en relation avec son vécu, avec son exploration du monde intérieur, en même temps qu’elles sont présentées et analysées au fil de résumés extrêmement pertinents de ses livres.
Barbara Hannah a rencontré Jung en 1929. Après avoir été son élève, elle est devenue une collaboratrice, une amie. Une très grande compréhension de la psychologie junguienne alliée à un important travail d’analyste, des liens tissés avec Jung et sa famille, son entourage, font de l’auteur une des continuatrices les plus fidèles à son esprit ainsi qu’un des principaux témoins de sa vie.
---------------
Précisions sur Barabarza Hannah :
D’origine écossaise, la famille de Barbara Hannah était installée depuis deux générations en Angleterre quand elle-même est née à Brighton. Elle a passé son enfance à Chichester. Son père était pasteur de l’Église anglicane, ce qui rapprochait son expérience de celle de Jung, lui aussi enfant de pasteur.
Elle demeurait à Paris pour travailler la peinture et le dessin quand on lui offrit un livre de Jung qui la toucha tant que, passionnée, elle se mit à lire l’ensemble de ses ouvrages disponibles en anglais. À cette lecture, elle sentait que sa vie était en train de changer radicalement. Des rêves l’incitèrent à écrire à Jung et à se rendre à Zurich pour le voir : c’était en 1929. Elle ne quitta plus Zurich et se voua dès lors entièrement à la psychologie junguienne.
Dans la préface de la biographie qu’elle a consacrée à Jung, elle révèle : «Jung disait souvent que notre point de rencontre à lui et à moi, c’était mon très profond intérêt pour la totalité de la psyché, pour le processus d’individuation, comme il disait (p. 8).» Et, ajoute-t-elle plus loin (p. 235), «ce fut une grande chance pour moi que d’ouvrir mon séjour zurichois sur la découverte de ce symbole fondamental qu’est le mandala - lequel correspondait exactement à une passion que la peinture avait déjà éveillée en moi : l’amour de la totalité».
Très vite, Barbara Hannah fut acceptée aux cours et aux séminaires que Jung donnait et se lia d’amitié avec certains de ses proches. Peu à peu des liens se tissèrent aussi avec Jung et sa famille.
Elle devint analyste et fut infiniment appréciée dans ce travail d’aide et de soutien, d’élargissement de la conscience. À quatre-vingt-quatorze ans, elle continuait de recevoir, toujours très sollicitée et aimée pour ses côtés directs, naturels, pour son humour, ainsi que pour son immense rigueur et sa grande compassion. Il est rapporté qu’elle disait que les trois règles, en analyse, étaient : «Patience, patience, patience», tant sa confiance en l’inconscient et en la sagesse qui émane de lui était totale.
La langue maternelle de Barbara Hannah était l’anglais, et elle savait aussi l’allemand, naturellement, et le français. Mettant ses connaissances au service de Jung, elle participa à la traduction en anglais de certains de ses ouvrages ou articles et, lorsque Jung écrivait directement en anglais, elle en corrigeait la langue. Elle connaissait parfaitement l’oeuvre de Jung pour l’avoir lue et relue maintes fois.
Les conférences, puis les cours et les séminaires qu’elle donnait avaient pour but d’expliciter certains points de la psychologie junguienne, comme l’animus et l’anima, le processus d’individuation, la totalité faite de l’acceptation des contraires, l’imagination active. Aimant beaucoup les animaux, elle consacrait également des séminaires au chat, au chien, au cheval."