Lorsque le 22 octobre 1837 Henry David Thoreau débute la rédaction d’un journal, il a vingt ans ; il le tiendra jusqu’à sa mort en 1862. Ce Journal, par sa taille (près de 7 000 pages) et par son contenu, constitue une œuvre littéraire absolument unique.
Tout à la fois manifeste philosophique, recueil poétique, précis naturaliste ou manuel d’ethnologie, il est avant tout un document passionnant sur la vie quotidienne et intellectuelle dans les États-Unis du XIXème siècle. On y trouve exposées, à travers son regard contemplatif sur le monde, toute la pensée de Thoreau et la matière brute de ses ouvrages, de Walden à la Désobéissance civile.
Œuvre majeure, ce Journal est souvent cité comme un des piliers de la culture américaine et comme le grand texte fondateur de l’écologie.
Sur les sept mille pages du Journal, à peine deux cents pages d’extraits avaient été traduites en français. Aujourd’hui, les éditions Finitude prévoient de publier cette œuvre dans sa totalité en quinze volumes.
Lorsque le 22 octobre 1837 Henry David Thoreau débute la rédaction d’un journal, il a vingt ans ; il le tiendra jusqu’à sa mort en 1862. Ce Journal, par sa taille (près de 7 000 pages) et par son contenu, constitue une œuvre littéraire absolument unique.
Tout à la fois manifeste philosophique, recueil poétique, précis naturaliste ou manuel d’ethnologie, il est avant tout un document passionnant sur la vie quotidienne et intellectuelle dans les États-Unis du XIXème siècle. On y trouve exposées, à travers son regard contemplatif sur le monde, toute la pensée de Thoreau et la matière brute de ses ouvrages, de Walden à la Désobéissance civile.
Œuvre majeure, ce Journal est souvent cité comme un des piliers de la culture américaine et comme le grand texte fondateur de l’écologie.
Sur les sept mille pages du Journal, à peine deux cents pages d’extraits avaient été traduites en français. Aujourd’hui, les éditions Finitude prévoient de publier cette œuvre dans sa totalité en quinze volumes.