Comment renouer avec sa bonté profonde, cette source d’énergie, d’estime de soi et d’amour ? Comment réussir à se regarder avec bienveillance pour s’accepter sans se dénigrer ?
Moussa Nabati montre, à travers de nombreux témoignages, que ce n’est pas l’adulte qui souffre d’une image négative de lui-même, mais le petit garçon ou la petite fille qu’il a été.
Cet enfant intérieur, affecté par la Dépression Infantile Précoce (D.I.P.), suite à une carence matricielle, le pousse à se maltraiter, à se sacrifier. Il le contraint aussi à devenir irréprochable, parfait, dans le but d’attirer la reconnaissance et l’affection.
Ce combat n’aboutit évidemment qu’à l’épuiser, en accentuant son mal-être.
Renouer avec sa bonté profonde nécessite un pèlerinage dans son histoire personnelle et transgénérationnelle pour retrouver son enfant intérieur oublié et apprivoiser les fantômes du passé.
Ce cheminement rend le Moi moins dépendant des autres et de l’extérieur, plus centré donc sur son intériorité. Il l’aide surtout à s’assumer, sans crainte de déplaire ou d’être rejeté, avec ses forces et faiblesses, ses ombres et lumières.
" Le bien que tu feras à toi-même, c’est le mal que tu ne feras pas à autrui ! "
Comment renouer avec sa bonté profonde, cette source d’énergie, d’estime de soi et d’amour ? Comment réussir à se regarder avec bienveillance pour s’accepter sans se dénigrer ?
Moussa Nabati montre, à travers de nombreux témoignages, que ce n’est pas l’adulte qui souffre d’une image négative de lui-même, mais le petit garçon ou la petite fille qu’il a été.
Cet enfant intérieur, affecté par la Dépression Infantile Précoce (D.I.P.), suite à une carence matricielle, le pousse à se maltraiter, à se sacrifier. Il le contraint aussi à devenir irréprochable, parfait, dans le but d’attirer la reconnaissance et l’affection.
Ce combat n’aboutit évidemment qu’à l’épuiser, en accentuant son mal-être.
Renouer avec sa bonté profonde nécessite un pèlerinage dans son histoire personnelle et transgénérationnelle pour retrouver son enfant intérieur oublié et apprivoiser les fantômes du passé.
Ce cheminement rend le Moi moins dépendant des autres et de l’extérieur, plus centré donc sur son intériorité. Il l’aide surtout à s’assumer, sans crainte de déplaire ou d’être rejeté, avec ses forces et faiblesses, ses ombres et lumières.
" Le bien que tu feras à toi-même, c’est le mal que tu ne feras pas à autrui ! "