D’origine très pauvre, situation dont elle fera ensuite délibérement la règle et la chance de son existence terrestre, Rabi’a al-Adawiyya mène une vie d’extrême ascétisme qui lui attire, dans la Bassorah du premier siècle de l’Hégire, le respect de tous. Si les histoires légendaires ne cessent depuis de se multiplier, elle reste une figure majeure de la spiritualité, première sainte, mystique et soufie de l’Islam dont Salah Stétié nous éclaire d’une langue adamantine les méditations
fiévreuses, prières incessantes et infinies : celles d’une athlète de Dieu.
Commentaire et traduction de Salah Stétié.
Calligraphies originales de Ghani Alani.
Extrait :
"Modeste est mon viatique et peu fait pour me conduire jusqu’au terme Est-ce lui qui produit mes pleurs ou bien l’interminable route ? Ultime Objet de mon désir, de Ton feu vas-Tu me brûler ? Où donc serait mon espérance et, face à Toi, ma peur ?"
D’origine très pauvre, situation dont elle fera ensuite délibérement la règle et la chance de son existence terrestre, Rabi’a al-Adawiyya mène une vie d’extrême ascétisme qui lui attire, dans la Bassorah du premier siècle de l’Hégire, le respect de tous. Si les histoires légendaires ne cessent depuis de se multiplier, elle reste une figure majeure de la spiritualité, première sainte, mystique et soufie de l’Islam dont Salah Stétié nous éclaire d’une langue adamantine les méditations
fiévreuses, prières incessantes et infinies : celles d’une athlète de Dieu.
Commentaire et traduction de Salah Stétié.
Calligraphies originales de Ghani Alani.
Extrait :
"Modeste est mon viatique et peu fait pour me conduire jusqu’au terme Est-ce lui qui produit mes pleurs ou bien l’interminable route ? Ultime Objet de mon désir, de Ton feu vas-Tu me brûler ? Où donc serait mon espérance et, face à Toi, ma peur ?"