"Le propre du secret est qu´il donne à imaginer. Il est le point de départ d´une recherche, qui peut prendre la forme de la quête, ou même de l´enquête. Il déclenche surtout une rêverie dont bénéficient la littérature et l´art. Partant d´un exemple apparemment très simple, ""Le secret de maître Cornille"", dans les Lettres de mon moulin , Pierre Brunel a choisi, sans aucun souci d´être exhaustif, un libre parcours. Il convoque, au gré de sa fantaisie, mais aussi d´une nécessité interne du sujet, antiques et modernes, écrivains, peintres et musiciens. Nul esprit de système, dans tout cela, nulle grammaire de l´imaginaire, mais un libre déploiement à partir de visages d´hommes, de figures mythiques et même de simples lettres de l´alphabet, immobiles ou dansantes, d´apparents cryptogrammes qui peuvent aussi constituer des clés."
"Le propre du secret est qu´il donne à imaginer. Il est le point de départ d´une recherche, qui peut prendre la forme de la quête, ou même de l´enquête. Il déclenche surtout une rêverie dont bénéficient la littérature et l´art. Partant d´un exemple apparemment très simple, ""Le secret de maître Cornille"", dans les Lettres de mon moulin , Pierre Brunel a choisi, sans aucun souci d´être exhaustif, un libre parcours. Il convoque, au gré de sa fantaisie, mais aussi d´une nécessité interne du sujet, antiques et modernes, écrivains, peintres et musiciens. Nul esprit de système, dans tout cela, nulle grammaire de l´imaginaire, mais un libre déploiement à partir de visages d´hommes, de figures mythiques et même de simples lettres de l´alphabet, immobiles ou dansantes, d´apparents cryptogrammes qui peuvent aussi constituer des clés."