
		Dans cette anthologie de poésie chinoise, l’art de la sieste est célébré  comme jamais : sous la brise douce de l’été, maîtres ch’an et taoïstes  célèbrent le non-agir, le détachement, la joie de vivre et de se laisser  vivre en harmonie avec la nature… Autant de réjouissances qui  s’accompagnent souvent d’une coupe de vin, seul ou entre amis. Orné de  superbes calligraphies, ce recueil est le compagnon idéal des longs  après-midis à l’ombre des pins, ou des douces nuits embaumées de jasmin…
 "sur la mousse verte qui recouvre la terre, le début de l’éclaircie
 sous les arbres verdoyants, de la sieste je me réveille, personne
 seul le vent du sud, ancienne connaissance,
 ouvre furtivement la  porte et feuillette un livre".

Dans cette anthologie de poésie chinoise, l’art de la sieste est célébré  comme jamais : sous la brise douce de l’été, maîtres ch’an et taoïstes  célèbrent le non-agir, le détachement, la joie de vivre et de se laisser  vivre en harmonie avec la nature… Autant de réjouissances qui  s’accompagnent souvent d’une coupe de vin, seul ou entre amis. Orné de  superbes calligraphies, ce recueil est le compagnon idéal des longs  après-midis à l’ombre des pins, ou des douces nuits embaumées de jasmin…
 "sur la mousse verte qui recouvre la terre, le début de l’éclaircie
 sous les arbres verdoyants, de la sieste je me réveille, personne
 seul le vent du sud, ancienne connaissance,
 ouvre furtivement la  porte et feuillette un livre".
