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Von HALLE Judith Joseph d´Arimathie et le chemin du Saint-Graal - Les racines chrétiennes de l´Europe Librairie Eklectic

Joseph d´Arimathie et le chemin du Saint-Graal - Les racines chrétiennes de l´Europe

Auteur : Von HALLE Judith
Editeur : NOVALIS
Nombre de pages : 170
Date de parution : 09/12/2014
Forme : Livre ISBN : 9791094175033
NOV68

NEUF habituellement en stock
Prix : 17.00€

Dans cet ouvrage sont réunis trois axes convergents permettant de comprendre l’impulsion du Graal. Car il n’est pas facile de sonder toute la portée et la profondeur de celle-ci. Judith von Halle nous aide à pénétrer dans la compréhension de ce mystère central pour l’humanité et pour la Terre.
Elle nous décrit tout d’abord comment cette impulsion s’est manifestée sur terre au moment où, sur le Golgotha, le soldat romain Longin plongea sa lance dans le côté de Jésus déjà mort et qu’à la surprise générale, un « miracle » se produisit ; « un énorme flot d’un sang rouge resplendissant jaillit » (p. 39) que les personnes présentes recueillirent et auquel Joseph d’Arimathie donna le réceptacle qui convenait : le calice de la Cène. Puis elle montre que cette impulsion du sang du Christ, du Graal, poursuit son chemin grâce à trois êtres qui se mettent à son service : Joseph d’Arimathie, qui va jusqu’à l’extrême ouest de l’Europe, Marie Madeleine, annonçant la parole du Christ en Gaule du sud et Jean l’Évangéliste, le disciple que Jésus aimait, qui renouvelle à Éphèse les mystères de la parole qu’y avait proclamés Héraclite.
Grâce à ces annonciateurs de l’impulsion du Graal, l’Europe put être préparée à recevoir le message du Christ ; nous comprenons mieux que le sang du Christ, par ses forces de vie, est le porteur du moi immortel, de la nature éternelle de l’âme humaine et de la liberté. Mais le christianisme ésotérique reposant sur une connaissance directe du Christ, un témoignage, tel qu’il connut sa floraison à Lérins, était limité à une partie très réduite de l’humanité et ne pouvait que disparaître.
Il vécut une renaissance dans les Templiers et le courant rose-croix. À l’époque moderne, le christianisme johannique, lié aux témoins oculaires et au ressentir, fait place à un penser supérieur (p. 109-110), à une connaissance du Christ que Steiner nomme « science du Graal » ou anthroposophie et que chacun peut rechercher lui-même par son propre vouloir.


Dans cet ouvrage sont réunis trois axes convergents permettant de comprendre l’impulsion du Graal. Car il n’est pas facile de sonder toute la portée et la profondeur de celle-ci. Judith von Halle nous aide à pénétrer dans la compréhension de ce mystère central pour l’humanité et pour la Terre.
Elle nous décrit tout d’abord comment cette impulsion s’est manifestée sur terre au moment où, sur le Golgotha, le soldat romain Longin plongea sa lance dans le côté de Jésus déjà mort et qu’à la surprise générale, un « miracle » se produisit ; « un énorme flot d’un sang rouge resplendissant jaillit » (p. 39) que les personnes présentes recueillirent et auquel Joseph d’Arimathie donna le réceptacle qui convenait : le calice de la Cène. Puis elle montre que cette impulsion du sang du Christ, du Graal, poursuit son chemin grâce à trois êtres qui se mettent à son service : Joseph d’Arimathie, qui va jusqu’à l’extrême ouest de l’Europe, Marie Madeleine, annonçant la parole du Christ en Gaule du sud et Jean l’Évangéliste, le disciple que Jésus aimait, qui renouvelle à Éphèse les mystères de la parole qu’y avait proclamés Héraclite.
Grâce à ces annonciateurs de l’impulsion du Graal, l’Europe put être préparée à recevoir le message du Christ ; nous comprenons mieux que le sang du Christ, par ses forces de vie, est le porteur du moi immortel, de la nature éternelle de l’âme humaine et de la liberté. Mais le christianisme ésotérique reposant sur une connaissance directe du Christ, un témoignage, tel qu’il connut sa floraison à Lérins, était limité à une partie très réduite de l’humanité et ne pouvait que disparaître.
Il vécut une renaissance dans les Templiers et le courant rose-croix. À l’époque moderne, le christianisme johannique, lié aux témoins oculaires et au ressentir, fait place à un penser supérieur (p. 109-110), à une connaissance du Christ que Steiner nomme « science du Graal » ou anthroposophie et que chacun peut rechercher lui-même par son propre vouloir.