Sorti dans le plus grand silence, dans sa première édition, en 2009, il y a déjà dix ans aujourd’hui, le livre de Géraud de Barail : « L’Île Rouge » était devenu au fil du temps, dans les milieux spécialisés du Polar et parmi les nombreux aficionados de Rennes-le-Château, non seulement « un classique » mais aussi un titre de livre qu’il fallait absolument avoir lu, car quelques chercheurs parmi les plus fins limiers avaient bien compris que derrière ce nom d’emprunt et cet anonymat de façade parfaitement préservé se cachait non seulement un des meilleurs initiés du « mystère Saunière » mais aussi un homme d’archives important, un homme de dossiers peu commun et de grande connaissance s’agissant de l’histoire du mystère audois.
Beaucoup de lecteurs de cette première décennie seront donc très heureux d’apprendre aujourd’hui le vrai nom de « Géraud de Barail » - l’auteur anonyme de ce livre dans sa première édition - qui n’est autre que Jean-Pierre Monteils, un des chercheurs historiques les plus en vue de l’affaire de Rennes, ami proche de Gérard de Sède dès 1968 et un de ses éditeurs. Jean-Pierre Monteils est surtout, aujourd’hui, le plus ancien auteur vivant à avoir écrit un livre sur Rennes-le-Château. Dans ce polar haletant qui met en scène bien des personnages connus, mais aussi tout à fait inconnus de l’Affaire de Rennes-le-Château, tout est jeux et enjeux d’ombres et de lumières sur Rennes-le-Château, tout est voiles et dévoilements et l’on se demande bien comment l’auteur a réussi un tel tour de force littéraire, comme un Maurice Leblanc des temps modernes, pour nous maintenir constamment en haleine, du début jusqu’à la fin, avec cette histoire terrible que l’on croyait si bien connaître et qui touche sans aucun doute au cœur du mystère audois.
Le plus exaspérant dans ce roman initiatique qui a comme toile de fond Rennes-le-Château c’est qu’arrivé à la fin du livre, le lecteur n’a qu’une seule hâte, le relire à nouveau aussitôt pour en démêler le vrai de l’imaginé et s’apercevoir finalement que ce qu’il a entre les mains est certainement bien plus troublant que d’authentiques livres d’Histoire consacrés au mystère du « curé aux milliards ». Alors ! … si tout était vrai… Et est-ce vraiment un roman... ?
Sorti dans le plus grand silence, dans sa première édition, en 2009, il y a déjà dix ans aujourd’hui, le livre de Géraud de Barail : « L’Île Rouge » était devenu au fil du temps, dans les milieux spécialisés du Polar et parmi les nombreux aficionados de Rennes-le-Château, non seulement « un classique » mais aussi un titre de livre qu’il fallait absolument avoir lu, car quelques chercheurs parmi les plus fins limiers avaient bien compris que derrière ce nom d’emprunt et cet anonymat de façade parfaitement préservé se cachait non seulement un des meilleurs initiés du « mystère Saunière » mais aussi un homme d’archives important, un homme de dossiers peu commun et de grande connaissance s’agissant de l’histoire du mystère audois.
Beaucoup de lecteurs de cette première décennie seront donc très heureux d’apprendre aujourd’hui le vrai nom de « Géraud de Barail » - l’auteur anonyme de ce livre dans sa première édition - qui n’est autre que Jean-Pierre Monteils, un des chercheurs historiques les plus en vue de l’affaire de Rennes, ami proche de Gérard de Sède dès 1968 et un de ses éditeurs. Jean-Pierre Monteils est surtout, aujourd’hui, le plus ancien auteur vivant à avoir écrit un livre sur Rennes-le-Château. Dans ce polar haletant qui met en scène bien des personnages connus, mais aussi tout à fait inconnus de l’Affaire de Rennes-le-Château, tout est jeux et enjeux d’ombres et de lumières sur Rennes-le-Château, tout est voiles et dévoilements et l’on se demande bien comment l’auteur a réussi un tel tour de force littéraire, comme un Maurice Leblanc des temps modernes, pour nous maintenir constamment en haleine, du début jusqu’à la fin, avec cette histoire terrible que l’on croyait si bien connaître et qui touche sans aucun doute au cœur du mystère audois.
Le plus exaspérant dans ce roman initiatique qui a comme toile de fond Rennes-le-Château c’est qu’arrivé à la fin du livre, le lecteur n’a qu’une seule hâte, le relire à nouveau aussitôt pour en démêler le vrai de l’imaginé et s’apercevoir finalement que ce qu’il a entre les mains est certainement bien plus troublant que d’authentiques livres d’Histoire consacrés au mystère du « curé aux milliards ». Alors ! … si tout était vrai… Et est-ce vraiment un roman... ?