
		À partir d’une conférence particulièrement forte donnée dans le cadre du Collège des Bernardins,  François Cheng poursuit une éblouissante méditation sur la beauté, aux  confins de l’Occident et de la grande tradition chinoise. Tel est le  défi adressée à l’homme: au cœur du mystère du mal, au cours de nos  existences, comment laisser réfléchir, envisager la beauté? Comment lui  donner visage, dans l’expérience artistique certes, mais aussi toute la  vie même, dans la recherche de la bonté, de la sainteté, de la vertu?  Dans cette tension vers le beau, nous ne pouvons marcher que l’œil  ouvert et le cœur battant, pour entrer dans ce qui est plus grand que  nous-même.  
Une réflexion puissante et à l’écriture lumineuse.
Coédition avec le Collège des Bernardins.

À partir d’une conférence particulièrement forte donnée dans le cadre du Collège des Bernardins,  François Cheng poursuit une éblouissante méditation sur la beauté, aux  confins de l’Occident et de la grande tradition chinoise. Tel est le  défi adressée à l’homme: au cœur du mystère du mal, au cours de nos  existences, comment laisser réfléchir, envisager la beauté? Comment lui  donner visage, dans l’expérience artistique certes, mais aussi toute la  vie même, dans la recherche de la bonté, de la sainteté, de la vertu?  Dans cette tension vers le beau, nous ne pouvons marcher que l’œil  ouvert et le cœur battant, pour entrer dans ce qui est plus grand que  nous-même.  
Une réflexion puissante et à l’écriture lumineuse.
Coédition avec le Collège des Bernardins.
