Féministes avant l´heure, les sorcières ont laissé en héritage leurs savoirs et leurs pouvoirs, autant de clés au service d´une féminité libre et puissante.
Symbole subversif de la révolte féministe, la figure de la sorcière est aujourd´hui de retour, prête à questionner nos choix, notre rapport au monde, à la nature, au corps, à la rationalité, à la sexualité... Et ce qu´elle a à nous apprendre peut réellement changer nos vies. Loin du folklore et des clichés, les sorcières sont porteuses d´un savoir riche et multiple, qui dérange et bouscule l´ordre établi. Pourquoi les a-t-on massacrées au XVe siècle, pourquoi a-t-on cherché à les oublier ? Car elles ont osé, en leur temps, défier l´église, l´autorité (masculine en particulier) et l´idée même de propriété ; elles savaient dire « oui » lorsqu´elles avaient envie et « non » quand elles le pensaient.
Se réapproprier leur histoire, leurs savoirs, leurs pouvoirs, c´est autoriser chaque femme à retrouver sa puissance, en faisant d´elle une digne héritière des guérisseuses et des sages-femmes d´antan. C´est ouvrir de nouveaux possibles, dans tous les champs (politique, artistique, écologique, philosophique, humain surtout), c´est oser se revendiquer différente, puissante et néanmoins bienfaisante.
Cette lecture contemporaine de l´héritage des sorcières résonne avec acuité à l´heure du renouveau féministe.
Féministes avant l´heure, les sorcières ont laissé en héritage leurs savoirs et leurs pouvoirs, autant de clés au service d´une féminité libre et puissante.
Symbole subversif de la révolte féministe, la figure de la sorcière est aujourd´hui de retour, prête à questionner nos choix, notre rapport au monde, à la nature, au corps, à la rationalité, à la sexualité... Et ce qu´elle a à nous apprendre peut réellement changer nos vies. Loin du folklore et des clichés, les sorcières sont porteuses d´un savoir riche et multiple, qui dérange et bouscule l´ordre établi. Pourquoi les a-t-on massacrées au XVe siècle, pourquoi a-t-on cherché à les oublier ? Car elles ont osé, en leur temps, défier l´église, l´autorité (masculine en particulier) et l´idée même de propriété ; elles savaient dire « oui » lorsqu´elles avaient envie et « non » quand elles le pensaient.
Se réapproprier leur histoire, leurs savoirs, leurs pouvoirs, c´est autoriser chaque femme à retrouver sa puissance, en faisant d´elle une digne héritière des guérisseuses et des sages-femmes d´antan. C´est ouvrir de nouveaux possibles, dans tous les champs (politique, artistique, écologique, philosophique, humain surtout), c´est oser se revendiquer différente, puissante et néanmoins bienfaisante.
Cette lecture contemporaine de l´héritage des sorcières résonne avec acuité à l´heure du renouveau féministe.