Son livre, La Langue des oiseaux, est le résultat de trente ans de travail. Richard Khaitzine affirme que nombre de textes – ceux de Villon, Rabelais, Bergerac, Vernes… – contiennent un discours sous-jacent. Il établit des passerelles entre les romans de Maurice Leblanc, père d’Arsène Lupin, et ceux de Gaston Leroux, créateur du Fantôme de l’Opéra. Plus encore : il rattache les œuvres de ces deux auteurs aux écrits de Raymond Roussel. Qui est donc ce Roussel ? L’écrivain le plus original du XXe siècle, un millionnaire excentrique ami de tout le milieu intellectuel de l’époque, qui prétendait avoir découvert un « procédé » d’écriture à l’âge de 17 ans. Il fut donc considéré comme un fou. Néanmoins, il fut admiré des surréalistes. André Breton fut le premier à déceler dans les écrits de Roussel de surprenantes allusions à deux livres d’alchimie, signés d’un pseudonyme, ayant acquis depuis une certaine célébrité : Fulcanelli. C’est l’objet de ce troisième et dernier volume.
Son livre, La Langue des oiseaux, est le résultat de trente ans de travail. Richard Khaitzine affirme que nombre de textes – ceux de Villon, Rabelais, Bergerac, Vernes… – contiennent un discours sous-jacent. Il établit des passerelles entre les romans de Maurice Leblanc, père d’Arsène Lupin, et ceux de Gaston Leroux, créateur du Fantôme de l’Opéra. Plus encore : il rattache les œuvres de ces deux auteurs aux écrits de Raymond Roussel. Qui est donc ce Roussel ? L’écrivain le plus original du XXe siècle, un millionnaire excentrique ami de tout le milieu intellectuel de l’époque, qui prétendait avoir découvert un « procédé » d’écriture à l’âge de 17 ans. Il fut donc considéré comme un fou. Néanmoins, il fut admiré des surréalistes. André Breton fut le premier à déceler dans les écrits de Roussel de surprenantes allusions à deux livres d’alchimie, signés d’un pseudonyme, ayant acquis depuis une certaine célébrité : Fulcanelli. C’est l’objet de ce troisième et dernier volume.