"Un des faits les plus constants de l’histoire de notre monde est la grand événement du déluge. Toutes les traditions, tous les monuments, toutes les croyances répandues sur la surface de la terre s’accordent à attester le souvenir de cette époque mémorable…
Les Lettres à Sophie sur l’histoire ont reçu de brillants éloges de la part de plusieurs critiques estimés ; et leur suffrage plus que le nôtre, est fait pour fixer l’opinion publique en sa faveur ; il suffira d’ajouter que la lecture doit plaire autant que celle du roman le plus intéressant, et qu’il a, par-dessus de genre d’écrits, toute l’utilité attachée à la connaissance de l’histoire. Une critique amère a reproché à l’auteur d’avoir mis de tout dans son ouvrage, de la physique, de la poésie, de la chimie, des épisodes, de l’astronomie, etc. Si son sujet l’a conduit à parler des sciences, il a dû le faire, s’il l’a fait de manière à plaire, ce n’est qu’un mérite de plus ; s’il a pris quelquefois le ton poétique, c’est que son sujet le comportait, et si c’est une faute, il est heureux de la partager avec l’auteur d’Anacharsis."
Un livre quasiment inédit, précédé d’une longue introduction d’Emmanuel Dufour-Kowalski présentant l’oeuvre, la vie et les inspirations de Fabre d’Olivet.
"Un des faits les plus constants de l’histoire de notre monde est la grand événement du déluge. Toutes les traditions, tous les monuments, toutes les croyances répandues sur la surface de la terre s’accordent à attester le souvenir de cette époque mémorable…
Les Lettres à Sophie sur l’histoire ont reçu de brillants éloges de la part de plusieurs critiques estimés ; et leur suffrage plus que le nôtre, est fait pour fixer l’opinion publique en sa faveur ; il suffira d’ajouter que la lecture doit plaire autant que celle du roman le plus intéressant, et qu’il a, par-dessus de genre d’écrits, toute l’utilité attachée à la connaissance de l’histoire. Une critique amère a reproché à l’auteur d’avoir mis de tout dans son ouvrage, de la physique, de la poésie, de la chimie, des épisodes, de l’astronomie, etc. Si son sujet l’a conduit à parler des sciences, il a dû le faire, s’il l’a fait de manière à plaire, ce n’est qu’un mérite de plus ; s’il a pris quelquefois le ton poétique, c’est que son sujet le comportait, et si c’est une faute, il est heureux de la partager avec l’auteur d’Anacharsis."
Un livre quasiment inédit, précédé d’une longue introduction d’Emmanuel Dufour-Kowalski présentant l’oeuvre, la vie et les inspirations de Fabre d’Olivet.