Dès l’origine, la musique a joué un rôle important dans la vie et les réunions maçonniques. En 1725 déjà, peu après la fondation de la Grande Loge d’Angleterre, il se constitue une société intitulée Philo-Musicae et architecturae Societas Apollinis, présidée par le frère Francesco Saverio Geminiani (1679-1760). À l’instar de la musique liturgique et du chant sacré de l’église, la musique maçonnique joue un rôle et a des fonctions toujours plus importantes dans les travaux et tenues de la loge. D’emblée, la communauté maçonnique a reconnu les effets exhaustifs exercés par la pratique musicale sur l’ambiance de la Loge et les sentiments animant les frères.
La pratique de la musique et du chant en loge contribue essentiellement, jusqu’à ce jour, au maintien de la communion des esprits lors des travaux rituels, mais aussi – dans la mesure où elle est en adéquation avec le texte et la gestuelle – à marquer plus intensément la perception du déroulement du rituel.
On fera appel à la musique lors des travaux en loge et au cours du déroulement du rituel, c’est-à-dire lors de l’entrée et de la sortie des frères du Temple, durant les brèves poses prévues par le rituel ainsi que pour accompagner certaines déambulations (par exemple durant les voyages symboliques au passage des trois grades).
Dès l’origine, la musique a joué un rôle important dans la vie et les réunions maçonniques. En 1725 déjà, peu après la fondation de la Grande Loge d’Angleterre, il se constitue une société intitulée Philo-Musicae et architecturae Societas Apollinis, présidée par le frère Francesco Saverio Geminiani (1679-1760). À l’instar de la musique liturgique et du chant sacré de l’église, la musique maçonnique joue un rôle et a des fonctions toujours plus importantes dans les travaux et tenues de la loge. D’emblée, la communauté maçonnique a reconnu les effets exhaustifs exercés par la pratique musicale sur l’ambiance de la Loge et les sentiments animant les frères.
La pratique de la musique et du chant en loge contribue essentiellement, jusqu’à ce jour, au maintien de la communion des esprits lors des travaux rituels, mais aussi – dans la mesure où elle est en adéquation avec le texte et la gestuelle – à marquer plus intensément la perception du déroulement du rituel.
On fera appel à la musique lors des travaux en loge et au cours du déroulement du rituel, c’est-à-dire lors de l’entrée et de la sortie des frères du Temple, durant les brèves poses prévues par le rituel ainsi que pour accompagner certaines déambulations (par exemple durant les voyages symboliques au passage des trois grades).