L’auteur a repéré quatre figures du rapport interreligieux. La première est l’anathème qui récuse en bloc la religion de l’autre. La deuxième est le surmontement. Une nouvelle religion ne se contente pas de supplanter d’autres, mais les intègre dans son histoire comme des moments révolus. Une forme mystique y apparaît comme le balbutiement d’une autre. La troisième est la pyramide qui, tout en plaçant la religion propre au sommet, ne néglige pas pour autant d’intégrer dans la foi vécue des éléments relevant de la substance d’autres confessions. Pour la mystique, la plus riche des matières. Le présent ouvrage est consacré à la quatrième figure, la rosace, conçue par des mystiques eux-mêmes, qui fait converger toutes les religions (chacune étant dotée d’un pôle relatif et d’un pôle absolu) dans leur centre commun, l’Inconditionné.
L’auteur a repéré quatre figures du rapport interreligieux. La première est l’anathème qui récuse en bloc la religion de l’autre. La deuxième est le surmontement. Une nouvelle religion ne se contente pas de supplanter d’autres, mais les intègre dans son histoire comme des moments révolus. Une forme mystique y apparaît comme le balbutiement d’une autre. La troisième est la pyramide qui, tout en plaçant la religion propre au sommet, ne néglige pas pour autant d’intégrer dans la foi vécue des éléments relevant de la substance d’autres confessions. Pour la mystique, la plus riche des matières. Le présent ouvrage est consacré à la quatrième figure, la rosace, conçue par des mystiques eux-mêmes, qui fait converger toutes les religions (chacune étant dotée d’un pôle relatif et d’un pôle absolu) dans leur centre commun, l’Inconditionné.