
		C’est un fait que beaucoup de personnes, après avoir pris refuge,  manquent pour leur pratique quotidienne des repères précis dont elles  ressentent le besoin. Comment, lorsqu’on travaille, qu’on mène la vie  ordinaire de tout un chacun, donner néanmoins à chaque journée une  assise spirituelle à la fois facile à mettre en œuvre et profonde dans  son application ?
Ce petit livre répond à cette question ; c’est  pourquoi Bokar Rimpoché considéra comme très important qu’il soit  réalisé. On n’y trouvera pas de discours, peu de considérations  théoriques, mais les pratiquants sincères et motivés découvriront en lui  un incomparable compagnon de route.
Au cours du voyage qu’il  accomplit en Europe en 1987, Bokar Rimpoché en dicta le contenu sur  cassette avec infiniment de bonté et, avec infiniment de patience, se  prêta aux photographies qui l’illustrent.
Le résultat n’est pas un de  ces ouvrages qui charment l’esprit par l’agrément d’un récit ou par la  beauté d’une pensée, un texte qu’on lirait une fois pour le ranger  soigneusement ensuite. C’est au contraire un livre destiné à être pris  et repris, consulté et reconsulté encore, fermé puis rouvert cent fois,  au gré des oublis de notre mémoire volatile.

C’est un fait que beaucoup de personnes, après avoir pris refuge,  manquent pour leur pratique quotidienne des repères précis dont elles  ressentent le besoin. Comment, lorsqu’on travaille, qu’on mène la vie  ordinaire de tout un chacun, donner néanmoins à chaque journée une  assise spirituelle à la fois facile à mettre en œuvre et profonde dans  son application ?
Ce petit livre répond à cette question ; c’est  pourquoi Bokar Rimpoché considéra comme très important qu’il soit  réalisé. On n’y trouvera pas de discours, peu de considérations  théoriques, mais les pratiquants sincères et motivés découvriront en lui  un incomparable compagnon de route.
Au cours du voyage qu’il  accomplit en Europe en 1987, Bokar Rimpoché en dicta le contenu sur  cassette avec infiniment de bonté et, avec infiniment de patience, se  prêta aux photographies qui l’illustrent.
Le résultat n’est pas un de  ces ouvrages qui charment l’esprit par l’agrément d’un récit ou par la  beauté d’une pensée, un texte qu’on lirait une fois pour le ranger  soigneusement ensuite. C’est au contraire un livre destiné à être pris  et repris, consulté et reconsulté encore, fermé puis rouvert cent fois,  au gré des oublis de notre mémoire volatile.
