
		L’hiver 1366-1367, un visionnaire, Rigdzin Gödem, exhume une abondante  collection de textes présumés cachés depuis le VIIIe siècle, époque de  la première diffusion du bouddhisme au Tibet. Le plus profond d’entre  eux, le dGongs pa zang thal, « La transparution immédiate de l’esprit »,  est un vaste ensemble d’instructions du Dzogchen, la « Grande  Complétude ». Mais il faudra attendre le début du siècle dernier pour  que Tülku Tsullo,
ou Tsültrim Zangpo, l’ordonne en un manuel de pratique complet.
Voici  la traduction française de ce maître-ouvrage de la spiritualité  tibétaine, qui couvre tout l’itinéraire du pratiquant, des premiers  renoncements éthiques jusqu’au détail de ce qui arrivera à l’adepte  après sa mort, en passant par le couronnement de la contemplation et son  étonnant déploiement de visions lumineuses. On y apprendra,entre  autres, ce que sont le « vide de soi », la « destruction de la rigidité »  et l’état naturel qui mène au « corps d’arc-en-ciel ».
Une publication attendue, qui révèle des aspects encore mal connus du bouddhisme.
Maître  de conférences H.D.R. en langue et civilisation tibétaines à l’Institut  national des langues et civilisations orientales (INALCO, Paris),  Stéphane Arguillère s’est vu confier par Chhimed Rigdzin Rinpoché, en  1995, cet écrit fondamental à la traduction et au commentaire duquel il  aura consacré vingt ans de travail.

L’hiver 1366-1367, un visionnaire, Rigdzin Gödem, exhume une abondante  collection de textes présumés cachés depuis le VIIIe siècle, époque de  la première diffusion du bouddhisme au Tibet. Le plus profond d’entre  eux, le dGongs pa zang thal, « La transparution immédiate de l’esprit »,  est un vaste ensemble d’instructions du Dzogchen, la « Grande  Complétude ». Mais il faudra attendre le début du siècle dernier pour  que Tülku Tsullo,
ou Tsültrim Zangpo, l’ordonne en un manuel de pratique complet.
Voici  la traduction française de ce maître-ouvrage de la spiritualité  tibétaine, qui couvre tout l’itinéraire du pratiquant, des premiers  renoncements éthiques jusqu’au détail de ce qui arrivera à l’adepte  après sa mort, en passant par le couronnement de la contemplation et son  étonnant déploiement de visions lumineuses. On y apprendra,entre  autres, ce que sont le « vide de soi », la « destruction de la rigidité »  et l’état naturel qui mène au « corps d’arc-en-ciel ».
Une publication attendue, qui révèle des aspects encore mal connus du bouddhisme.
Maître  de conférences H.D.R. en langue et civilisation tibétaines à l’Institut  national des langues et civilisations orientales (INALCO, Paris),  Stéphane Arguillère s’est vu confier par Chhimed Rigdzin Rinpoché, en  1995, cet écrit fondamental à la traduction et au commentaire duquel il  aura consacré vingt ans de travail.
