
		« Par la grâce de Dieu je suis un homme  chrétien, par mes actions, un grand pécheur, de mon état, un pèlerin  sans gîte, de la plus basse condition, errant de place en place. Tel est  mon bien : un sac de pain sec sur le dos, et sous ma blouse une Bible,  c’est tout. » 
 De cette œuvre mythique, majeure et énigmatique que sont « Les Récits  d’un Pèlerin russe », voici l’édition de référence, complète, documentée  et commentée, qui a trop longtemps fait défaut. Ici, enfin, le texte  est rendu dans sa version intégrale. Ici, enfin, l’histoire de sa  rédaction et de sa publication est restituée. Ici, enfin, l’identité de  son auteur, qui avait choisi l’anonymat, est révélée. Jamais cet ouvrage  fondateur de la spiritualité contemporaine n’avait été donné à lire tel  quel, dans son intention, dans sa fraîcheur et dans sa force  originelles que souligne une traduction entièrement nouvelle.  
 Abrégé populaire de la Philocalie, manifeste du vagabondage mystique,  livre de chevet de Dostoïevski, ce « Récit », ainsi retrouvé, s’impose  définitivement comme le meilleur guide vivant de cette oraison du cœur  qu’est la prière de Jésus. Un indispensable traité du voyage intérieur.

« Par la grâce de Dieu je suis un homme  chrétien, par mes actions, un grand pécheur, de mon état, un pèlerin  sans gîte, de la plus basse condition, errant de place en place. Tel est  mon bien : un sac de pain sec sur le dos, et sous ma blouse une Bible,  c’est tout. » 
 De cette œuvre mythique, majeure et énigmatique que sont « Les Récits  d’un Pèlerin russe », voici l’édition de référence, complète, documentée  et commentée, qui a trop longtemps fait défaut. Ici, enfin, le texte  est rendu dans sa version intégrale. Ici, enfin, l’histoire de sa  rédaction et de sa publication est restituée. Ici, enfin, l’identité de  son auteur, qui avait choisi l’anonymat, est révélée. Jamais cet ouvrage  fondateur de la spiritualité contemporaine n’avait été donné à lire tel  quel, dans son intention, dans sa fraîcheur et dans sa force  originelles que souligne une traduction entièrement nouvelle.  
 Abrégé populaire de la Philocalie, manifeste du vagabondage mystique,  livre de chevet de Dostoïevski, ce « Récit », ainsi retrouvé, s’impose  définitivement comme le meilleur guide vivant de cette oraison du cœur  qu’est la prière de Jésus. Un indispensable traité du voyage intérieur.
