
		« De la considération » est le dernier  ouvrage de S. Bernard de Clairvaux (mort en 1153), son testament  politique et religieux. Il s´agit de cinq livres dictés par lui, entre  1148 et 1152, à l´adresse de l´un de ses anciens moines devenu pape sous  le nom d´Eugène III. Contraint à s´exiler en France, celui-ci s´était  tourné vers le Saint pour lui demander conseil.   
 Avec une verve et une liberté prodigieuses, l´Abbé adresse ses  recommandations, remontrances et encouragements au successeur de Pierre,  en l´occurrence mieux doué pour vivre à la dure que pour gouverner  l´Église. S. Bernard souhaitait une très large audience à cet  enseignement. « Pour être le destinataire de cet écrit, précisait-il au  pape Eugène, il ne faut pas que tu en sois le seul bénéficiaire. »  Puisse le vœu de S. Bernard être exaucé !   
 L´ouvrage reproduit l´excellente traduction réalisée par Pierre Dalloz  en 1941, en l´augmentant d´un texte signé du même auteur:  « L´architecture de S. Bernard ». 

« De la considération » est le dernier  ouvrage de S. Bernard de Clairvaux (mort en 1153), son testament  politique et religieux. Il s´agit de cinq livres dictés par lui, entre  1148 et 1152, à l´adresse de l´un de ses anciens moines devenu pape sous  le nom d´Eugène III. Contraint à s´exiler en France, celui-ci s´était  tourné vers le Saint pour lui demander conseil.   
 Avec une verve et une liberté prodigieuses, l´Abbé adresse ses  recommandations, remontrances et encouragements au successeur de Pierre,  en l´occurrence mieux doué pour vivre à la dure que pour gouverner  l´Église. S. Bernard souhaitait une très large audience à cet  enseignement. « Pour être le destinataire de cet écrit, précisait-il au  pape Eugène, il ne faut pas que tu en sois le seul bénéficiaire. »  Puisse le vœu de S. Bernard être exaucé !   
 L´ouvrage reproduit l´excellente traduction réalisée par Pierre Dalloz  en 1941, en l´augmentant d´un texte signé du même auteur:  « L´architecture de S. Bernard ». 
