De quoi est-il été question dans cet ouvrage ? De l´interrogation religieuse, qu´il s´agit de rétablir dans ses droits, dans son urgence et dans sa nécessité, et de la question de l´athéisme qui lui oppose une fin de non-recevoir.
" Mon sujet est l´interrogation religieuse, avec pour vrai souci de la rétablir dans ses droits, son urgence et sa nécessité. D´où la question de l´athéisme, à cause de la fin de non-recevoir qu´il prétend lui opposer. Mais il n´est souvent pas plus facile pour un athée de définir son athéisme qu´à certains croyants de définir le Dieu qu´ils adorent.
Voici, en première partie une étude critique des divers athéismes. Quant à l´athéisme au singulier, on lui rendra justice en le tenant pour " une marque de force d´esprit mais jusqu´à un certain point seulement ´ (Pascal). La deuxième partie met le christianisme au risque de l´interrogation et pas d´abord au risque de l´interprétation. Affaire de prius. On examine la supposition qu´une interrogation religieuse est, en droit, possible logiquement, textuellement et transcendantalement. Elle se heurte à une fin de non-recevoir de la part d´une forme d´athéisme interrogatif. La troisième partie traite des discussions incessantes autour des binômes contrastés : foi-savoir, philosophie-religion, raison- évélation, qui ont plutôt durci les positions. Indice qu´il fallait revoir les présupposés de ces deux foyers, christianisme et athéisme, mais aussi prévoir une médiation interrogative, notre objectif restant de dresser un nouveau type de théologien et de philosophe, en partenaires naturels de dialogue sur la foi. "
F. J.
De quoi est-il été question dans cet ouvrage ? De l´interrogation religieuse, qu´il s´agit de rétablir dans ses droits, dans son urgence et dans sa nécessité, et de la question de l´athéisme qui lui oppose une fin de non-recevoir.
" Mon sujet est l´interrogation religieuse, avec pour vrai souci de la rétablir dans ses droits, son urgence et sa nécessité. D´où la question de l´athéisme, à cause de la fin de non-recevoir qu´il prétend lui opposer. Mais il n´est souvent pas plus facile pour un athée de définir son athéisme qu´à certains croyants de définir le Dieu qu´ils adorent.
Voici, en première partie une étude critique des divers athéismes. Quant à l´athéisme au singulier, on lui rendra justice en le tenant pour " une marque de force d´esprit mais jusqu´à un certain point seulement ´ (Pascal). La deuxième partie met le christianisme au risque de l´interrogation et pas d´abord au risque de l´interprétation. Affaire de prius. On examine la supposition qu´une interrogation religieuse est, en droit, possible logiquement, textuellement et transcendantalement. Elle se heurte à une fin de non-recevoir de la part d´une forme d´athéisme interrogatif. La troisième partie traite des discussions incessantes autour des binômes contrastés : foi-savoir, philosophie-religion, raison- évélation, qui ont plutôt durci les positions. Indice qu´il fallait revoir les présupposés de ces deux foyers, christianisme et athéisme, mais aussi prévoir une médiation interrogative, notre objectif restant de dresser un nouveau type de théologien et de philosophe, en partenaires naturels de dialogue sur la foi. "
F. J.