Notre culture occidentale aime et cultive l’analyse. Elle sépare la réflexion de la religion, le rationnel du spirituel. Elle prône des valeurs qui se doivent d’être universelles. La Franc-maçonnerie paradoxalement se consacre à la recherche de la Vérité, c’est-à-dire d’un Tout cohérent, qui pourrait être tout aussi bien cosmique que personnel. Elle est donc une sorte de contre-culture. C’est de cet affrontement avec la réalité sensible et profane que naît la nécessité d’un travail personnel. Sans lui, le Franc-maçon ou la Franc-maçonne ne progresserait pas. Assister aux tenues, écouter le rituel, les planches, les interventions des Frères, est loin d’être suffisant. Cette activité peut être qualifiée de passive, dans la mesure où l’initié ne produit rien, ni pour lui, ni pour ses frères, même si, comme on peut l’espérer, ce qu’il reçoit des autres constitue un enseignement, qui provoque un travail intérieur. Toutefois, on peut douter que cette façon de vivre son évolution initiatique soit suffisante.
Notre culture occidentale aime et cultive l’analyse. Elle sépare la réflexion de la religion, le rationnel du spirituel. Elle prône des valeurs qui se doivent d’être universelles. La Franc-maçonnerie paradoxalement se consacre à la recherche de la Vérité, c’est-à-dire d’un Tout cohérent, qui pourrait être tout aussi bien cosmique que personnel. Elle est donc une sorte de contre-culture. C’est de cet affrontement avec la réalité sensible et profane que naît la nécessité d’un travail personnel. Sans lui, le Franc-maçon ou la Franc-maçonne ne progresserait pas. Assister aux tenues, écouter le rituel, les planches, les interventions des Frères, est loin d’être suffisant. Cette activité peut être qualifiée de passive, dans la mesure où l’initié ne produit rien, ni pour lui, ni pour ses frères, même si, comme on peut l’espérer, ce qu’il reçoit des autres constitue un enseignement, qui provoque un travail intérieur. Toutefois, on peut douter que cette façon de vivre son évolution initiatique soit suffisante.